The uncanny X-men, volume 1, n°217 (Chris Claremont, Jackson Guice)
Retour dans le passé des comics avec « The uncanny X-men, volume 1, n°217 ».
Sorti en 1987 aux États-Unis, ce numéro concocté par Jackson Guice sur un scénario du maitre Chris Claremont place l’action sur la fameuse ile de Muir an nord de l’Écosse, connue pour être une des bases arrières des X-men.
L’anglaise Elisabeth Braddock, plus connue sous le nom de Psylocke teste ses puissantes capacités télépathiques en luttant avec brio contre un trio composé de Malicia, Dazzler et Longshot.
Malicia est sonnée par une rafale psychique qui la désoriente pour s’écraser, Dazzler contrôlée télépathiquement pour abattre le réputé plus faible de trois, qui usant de sa chance et de son habileté, arrive à empêtrer suffisamment son adversaire pour que Malicia reprenne physiquement le dessus pour mettre un terme à l’exercice.
Après un déjeuner réparateur concocté par le paternel Hurleur, on découvre que Moira Mc Taggart, sa compagne a reconverti une partie de l’ile en asile pour les mutants Morlocks, décimés par une attaque des Maraudeurs.
Mais la fragile Dazzler quitte l’ile après une altercation avec la fougueuse Callisto, ex chef des Morlocks et décide de se rendre en Ecosse pour se distraire dans un bar ou ses talents de chanteuses ne tardent pas à la faire remarquer.
A cran, l’adolescente réagit mal après s’être fait bousculer par une brute colossale sans même remarquer qu’elle a maille à partir avec le Fléau, sous son identité civile de Cain Marko.
Comprenant tardivement son erreur, Dazzler déploie tout son pouvoir de maitrise de la lumière face à un adversaire quasi invincible, qui la ménage car il est tout bonnement fan de sa musique !
Faisant du combat contre le Fléau un défi personnel, Dazzler épuise toute son énergie en essayant de le frapper avec un laser hautement concentré et tombe inanimé dans les bras du colosse, de surcroit sincèrement navré du résultat !
En conclusion, « The uncanny X-men, volume 1, n°217 » est un petit numéro sympathique ou le lecteur est plongé par la qualité et la finesse du trait de Guice dans le cadre exotiquement dépaysant de l’Ecosse.
Le match entre Dazzler à 130% de ses capacités et un Fléau plus embarrassé que violent vaut le déplacement et Claremont continue d’explorer les failles/doutes de ses personnages notamment féminin, comme la sexy télépathe Psylocke et la blonde flamboyante Dazzler.
Court mais intense/savoureux, du comics des années 80 comme on l’aime !
Commentaires
Enregistrer un commentaire