The sentinel (Clark Johnson)
Voir un film avec Michael Douglas est toujours un plaisir aussi est-ce avec une grande curiosité que j’ai découvert « The sentinel » de Clark Johnson.
L’histoire se déroule en 2006, dans les arcanes de la Maison Blanche à Washington.
Pete Garrison (Michael Douglas) est un agent des services secret et assure la sécurité de Sarah Ballantine (Kim Basinger), la femme du président des Etats-Unis dont il a fini par devenir l’amant.
Le meurtre de son ami Charlie Merriweather (Clark Johnson) devant son domicile est un premier évènement troublant puis l’agent secret comprend qu’il est victime d’une machination lorsque il reçoit à son domicile des photos de sa liaison avec Sarah et qu’un coup de fil anonyme le conduit dans un café fréquenté par des proches de puissants cartels de drogues sud américains alors que dans le même temps, la tentative d’assassinat de président Ballantine (David Rasche) dont l’hélicoptère est abattu ne tarde pas à mettre en alerte rouge les services de sécurité qui cherchent un traitre dans l’entourage proche du président.
L’enquête est confiée à David Breckinridge (Kiefer Sutherland) assistée par Jil Marin (Eva Longoria) jeune et séduisant agent d’origine hispanique.
Garrison connu pour être le garde du corps ayant pris une balle pour sauver le président Reagan dans les années 80, est logiquement suspecté et doit passer le test du polygraphe, une sorte de détecteur de mensonge qui le met en difficulté.
Ayant un vieux contentieux avec Breckinridge pour une liaison avec son ex femme, Garrison échappe à une interpellation et tente par ses propres moyens d’établir son innocence.
Il parvient à retrouver son indicateur Walter Xavier (Raynor Scheine), qui l’avait attiré dans une violente fusillade dans un centre commercial et le découvre mort.
Contre toute attente, Marin qui croit en son innocence lui fournit une aide pour diriger ses recherches et le met sur la piste d’une organisation terroriste d’extrême Orient visant à éliminer le président lors d’un sommet israélo-palestinien.
Le duo Garrison-Marin comprend que le traitre est en réalité Montrose (Martin Donovan) le chef de la sécurité du président qui s’est de fait soustrait au test du polygraphe.
Prenant tous les risques, Garrison se rend au sommet et déclenche une fusillade avec les terroristes.
Montrose perd la vie dans les échanges de tir mais Garrison appuyé par Breckinridge, finit par éliminer les terroristes et à sauver le président.
Ayant prouvé son innocence, le vétéran finit par prendre une retraite bien méritée …
En conclusion, « The sentinel » est un de ces classiques thrillers sitôt vu sitôt oublié dans lequel Michael Douglas a été mille fois vu et revu.
Le scénario montrant un homme seul contre un système ligué contre lui n’est pas très original et se déroule tortueusement dans une ambiance de paranoïa liée au monde des services secrets américian.
Restent pour sauver « The sentinel » de la série B efficace mais anonyme le casting assez impressionnant, le charme de Longoria et la présence toujours magnétique de la star Douglas.
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