Homeland, saison 6, épisode 10 (Howard Gordon, Gideon Raff, Alex Gansa)

Inquiète après que Christine Lonas
(Marin Hinckle) lui ait confirmé que Frannie était souffrante et
que son rendez-vous de l'après-midi était annulé, Carrie perd les
pédales, se rétracte devant la caméra puis rappelle le chauffeur
pour lui dire que Dar Adal a gagné la partie.
La situation se débloque alors
instantanément et Lonas rappelle Carrie pour lui signifier une
erreur au sujet de sa fille qu'elle pourra voir dans l'après-midi.
Furieuse, Keane (Elisabeth Marvel)
comprend que Carrie a subi des pressions et demande à Pallis de
faire témoigner Saul qui par peur du scandale, s’apprête à
disparaître pour se cacher en Grèce.
Keane a un face-à-face tendu avec Dar
Adal et après un échange de menaces, celui-ci contacte l'animateur
radio O'Keefe (Jack Weber) pour diffuser sur Internet une vidéo
faisant passer le fils décédé de la présidente pour un lâche.
Venu aux nouvelles, Dar Adal est filmé
par Max (Mauray Sterling) en pleine discussion avec O'Keefe mais le
technicien paye cher son audace puisqu'il est repéré et arrêté par
la sécurité de la startup.
De son coté, Quinn (Rupert Friend)
fait une halte dans un café dans lequel il évoque le bon vieux
temps avec une serveuse (Erin Drake) puis pénètre dans une maison
dans laquelle il avait l'habitude de se réunir avec son groupe de
commandos.
Quinn contacte ensuite Carrie par intermédiaire de Clarice (Mickey O'Hagan) et lui montre sa
planque, fusil à lunettes dirigé vers la maison dans laquelle on
peut voir Belli (CJ Wilson) converser avec les autres membres du
commando.
Poussé par Mira (Sarita Choudhoury), Saul revient finalement sur sa décision de départ anticipé et se rendant chez Carrie récupère par hasard la vidéo envoyée par Max avant son arrestation.
En conclusion, « Homeland, saison
6, épisode 10 » marque un temps d’arrêt dans la progression vers le
dénouement en montrant que Dar Adal semble réellement trop fort, même pour la présidente des États-Unis, car capable de manipuler
l'opinion publique en utilisant le relai de l'animateur radio
président d'une startup factice manipulatrice de l'opinion publique.
Carrie est également complétement
paralysée en raison des redoutables pressions sur sa fille via un
contrôle des services sociaux.
Seul élément moteur, Quinn mène son investigations en solo et sème plutôt la confusion en remontant sur
les traces de son passé et de son groupe de commando exécuteurs
auquel semble appartenir le fameux Belli.
Un stand-by en attendant un dénouement
qu'on espère spectaculaire ?
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