Homeland, saison 6, épisode 2 (Gideon Raff, Howard Gordon, Alex Gansa)

Au cours d'un entretien Sekou révèle
que les 5000 dollars qui lui ont été remis proviennent d'un ami
appelé Saad (Leo Manzari) qui demeure introuvable.
Carrie fait alors appel aux compétences
de Max (Maury Sterling) qu'elle a déjà embauché pour servir de
baby-sitter à Quinn (Rupert Friend) agressif et instable à la
maison.
Redoutablement efficace, Max établit
que Saad est un agent infiltré du FBI qui a probablement piégé
Sekou.
Lorsque Carrie demande à le rencontrer
pour établir sa version des faits, son supérieur Ray Conlin
(Dominic Fumusa) lui oppose la protection de sa source.
Le jury suit cet avis et Carrie
n'obtient qu'une possible réduction de peine à 7 ans pour le jeune
homme.
Mais Carrie ne lâche rien et violant
tous les protocoles parvient à rencontrer Saad avec l'aide de Simone
(Ashley Sharpe Chestnut) la sœur de Sekou et petite amie de Saad.
A son tour piégé, Saad réagit mal,
niant les faits puis accepte de dire que c'est Conlin qui lui a mit
la pression pour faire tomber Sekou.
Même si Saad dit la vérité, Conlin
n'en fait rien ressortir et lorsqu'il rapporte l’initiative de Carrie
au jury, la réaction est immédiate : cette fois Sekou risque
15 ans fermes.
Du coté de la CIA, Saul (Mandy
Patikin) rend visite à Carrie qu'il suspecte d’être la conseillère
secrète de la nouvelle présidente Elisabeth Keane (Elisabeth
Marvel) ce qu'elle nie.
Dar Adal (D Murray Abraham) qui a mis
Carrie sous surveillance connait pourtant la vérité et tente de
monter une opération à Abou Dhabi pour capturer Farhad Nafisi
(Bernard White) un agent iranien chargé de négocier avec la Corée
du Nord la poursuite d'un programme nucléaire parallèle.
Carrie retourne à la maison pour
trouver Quinn mal en point après avoir fait une crise de convulsion
dans un drugstore et refusé qu'on l'enmène à l'hopital.
En conclusion, « Homeland, saison
6, épisode 2» continue sur la lancée plutôt timorée du début de
saison.
L'intrigue se tisse lentement entre
possibilité d'une erreur judiciaire et grandes manœuvres de la CIA
pour influencer la nouvelle présidente.
On a pourtant été habitué à mieux !
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