Ultimate X-men n°48, apocalypse 2 (Robert Kirkman, Salvador Larroca)

 

 


Comme vous le savez les comic books ne sont jamais bien loin dans ces colonnes, aussi voici « Ultimate X-men n°48, apocalypse 2 ».

Sorti en 2008, ce 48 ième numéro écrit par Robert Kirkman sur des dessins de Salvador Larroca, entre dans le vif du sujet avec une attaque d’envergure des X-men (Wolverine, Dazzler, Fauve, Tornade, Psylocke, Pyro) contre le redoutable mutant Apocalypse responsable entre autres sous les traits de son bras droit Sinistre de la mort d’Angel.

Se déroulant en plein centre ville de New-York, le combat est violent et occasionne la mise hors combat de Wolverine qui voit son bras arraché par son adversaire.

Même l’attaque surprise des Morlocks amenés en renfort par Diablo ne distrait le surpuissant mutant qu’un bref laps de temps, avant que celui-ci ne trouve un moyen de les retourner psychiquement contre les X-men pour provoquer un combat fratricide.

La menace que fait planer Apocalypse sur la ville est telle que Carol Danvers lance à l’assaut les soldats du S.H.I.E.L.D dotés d’armement High tech sans parvenir à l’inquiéter plus que cela.

Même les 4 Fantastiques qui peinent à contenir Cyclope, Iceberg, Jean et Malicia eux aussi affectés par le contrôle mental d’Apocalypse, se trouvent désemparés.

L’arrivée de deux mystérieux soldats casqués vient redonner un peu d’espoir, surtout lorsque l’un d’entre eux se révèle être le Professeur X en personne ramené du futur par Cable et seul capable de déverrouiller l’esprit des X-men.

Les pouvoirs conjugués des FF sont sans effet sur Apocalypse et les X-men comprennent que seul le Professeur X est suffisamment puissant pour arrêter le monstre.

Malgré un combat télépathique acharné, Xavier a le dessous et se trouve menace de mort ce qui force Jean Grey a appeler à la rescousse le pouvoir du Phénix en personne...

En conclusion, « Ultimate X-men n°48, apocalypse 2 » plonge le lecteur immédiatement dans le vif du sujet avec un combat dantesque comme on les aime ou plusieurs équipes de super héros affrontent un ennemi omnipotent assoiffé de pouvoir.

Le scénario de Kirkman est certes classique mais bien exécuté et on se régale du style puissant et coloré de Larroca, parfaitement amène de restituer la formidable ampleur de cette lutte pour la survie du monde.

Seul reproche principal, la durée minimaliste de l’épisode qui donne furieusement envie de connaitre la suite !

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