Le code du crime, saison 1, épisode 2 (Heitor Dhalia, Pedro Morelli)
Dans le « Le code du crime, saison 1, épisode 2 » , les enquêteurs de Foz d'Iguaçu recoivent le concours de Moreira (Guilherme Sivla) venu de São Paulo pour les aider à infiltrer l'organisation structurée qui a mise en place le braquage sanglant au Paraguay.
Reçu par le commissaire Rossi (Pedro Caetano), Moreira apparaît comme un policier étrange, suspendu par sa hierarchie et se définissant comme un enquêteur de rue habile pour collecter des informations.
Alors qu'il interroge un de ses indics, serveurs dans un bar mal fréquenté, Benicio (Romulo Braga) et Suellen (Mavea Jenkins) se rend à la banque pour collecter des indices.
Ils identifient Hernandez le chauffeur du fourgon braqué, comme un des rares survivants de l'attaque et décident de se rendre à son domicile.
Ils tombent à point nommé puisque l'homme qui vit terré, est kidnappé sous leurs yeux par les criminels.
Les policiers prennent en chasse la voiture et parviennent grâce aux qualités de conductrice de Suellen à la bloquer.
Hernandez sauvé, il peut donc parler et confirmer l'implication d'Alvino dans le crime alors qu'il était sur le point d’être libéré faute de preuve. Le témoignage d'Hernandez permet également de perquisitionner la maison dans laquelle les braqueurs ont préparé leur attaque et de prélever de précieux indices pour des prélèvements génétiques.
De son coté, « Sans âme » (Thomas Aquino) confirme son rôle de leader en abattant froidement un des membres du braquage qui avait décidé de garder une partie du butin pour lui.
Mais « Sans âme » semble recevoir des ordres de gros bonnets de la pègre qui lui demandent de compenser le manque à gagner du braquage en en réalisant d'autres...
En conclusion, « Le code du crime, saison 1, épisode 2 » continue d'avancer à sa manière, brutale et efficace.
L'histoire se développe, les personnages bien que brossés simplement tel Benicio en flic torturé par la mort de son partenaire dans un assaut à la prison pour libérer les braqueurs, servent plutot de prétexte pour installer une intrigue musclée et bien balancée.
Un polar brésilien qui tient la route donc !
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