Le journal d'un AssaSynth, tome 1 : défaillances systèmes (Martha Wells)

 

 

Sorti en 2019, « Le journal d'un AssaSynth, tome 1 : défaillances systèmes » est le premier d'une série primée par Martha Wells.

Ici on découvre un Androide de sécurité appartenant à la classe des SecUnit qui au cours d'une mission d'escorte d'un groupe de scientifique explorant une planète inconnue, se voit plongé dans une situation non prévue.

Après qu'un monstre sous-terrain non identifié autrement que par « hostile » les prenne par surprise et occasionne des blessures sérieuses au SecUnit ainsi qu'à Bharadwaj, le mercenaire comprend qu'une autre expédition concurrente nommée Deltfall a elle complètement disparue.

Intrigués, les scientifiques dirigés par le docteur Mensah décident de mener leur enquête de terrain et la SecUnit doit éliminer plusieurs androïdes similaires infectés par un virus responsables du massacre de la Deltafall qui avait identifié des ruines enfouies pouvant générer potentiellement de grands profits.

La stratégie change alors et l'attente d'une troisième équipe de « nettoyeurs » s'installe.

Le contact est peu aisé et l'usage de drones permet d'identifier puis localiser ce qui s'avère être une menace sérieuse.

Le SecUnit feint d'accepter une négociation, résiste par son indépendance à une tentative d'infection informatique puis feint une coopération en livrant Mensah, mais une lutte s'engage dans l'aéronef ennemi qui aboutit à la défaite de leurs adversaires.

Le SecUnit se réveille donc complètement retapé et se voit assigner une nouvelle mission exempte de toute activité belliqueuse.

Mais au dernier moment, il renonce à cette vie trop « calme » pour lui et préfère son libre arbitre pour gouter à la liberté...

En conclusion, « Le journal d'un AssaSynth, tome 1 : défaillances systèmes » inaugure une série complète écrite par Wells.

Rien de bien novateur dans cette courte histoire d’androïdes en réalité plutot cyborgs effectuant une mission de sécurité qui dérape.

Humains augmentés capables de se régénérer, réseaux informatiques, drones non armés (déjà rendu « has been » par les guerres des années 2020), virus, faune « hostile » peu décrite...rien de bien neuf ou excitant crée par Wells.

Pas sur donc que cela me suffise pour aller plus loin dans la découverte de cette prolifique série pourtant couronnée d'un prix Hugo.

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