Venom 2, let there be carnage (Andy Serkis)

 



« Venom 2, let there be carnage » sort en 2021.

Réalisé par Andy Serkis, ce second opus montre les difficultés d'Eddie Brock (Tom Hardy) à cohabiter avec une créature parasite extra-terrestre aussi puissante et vorace que Venom.

Mal à l'aise, en proie à des conflits, Brock se rend dans une prison de haute sécurité pour tenter d'interviewer Cletus Cassady (Woody Harrelson) un tueur au série.

Le face-à-face est intense et Cletus très manipulateur force Brock à le toucher pour aspirer une petite partie des propriété de Venom.

De retour chez lui, Venom prend le relai et l'aide à partir de déductions logiques surhumaines à identifier à partir des dessins de Cletus le lieux ou il a entreposé les cadavres de ses victimes.

Condamné à la peine capitale, Cletus réagit de manière surprenante à l'injection censée le tuer et se transforme en horrible créature similaire à Venom mais doté de pouvoirs étendus.

Tirant profit de ses nouvelles facultés, Cletus surclasse les forces de sécurité et libère son amour d'adolescence, Frances (Naomie Harris) dotée elle de pouvoirs soniques.

Ensemble le duo élabore le projet d'une triple vengeance, capturer Patrick Mulligan (Stephen Graham) le policier ayant fait perdre un œil à Frances, Brock en tant que responsable de l'exécution de Cletus et Venom père et ennemi naturel de Carnage, nom de la créature monstrueuse.

Pour faire face, Brock doit renouer avec Venom qui avait fini par le laisser seul pour tracer sa route...

Ensemble le duo affronte Carnage et Frances dans une église dans laquelle doit être célébrées leurs « noces rouges ».

Surclassé par Carnage, Venom utilise la capacité involontaire de Frances de déstabiliser la forme des symbiotes avec ses cris soniques pour reprendre le dessus et dévorer son rival.

Anne et Cletus tué, Brock peut reprendre se vie d'avant avec son encombrant symbiote.

En conclusion, « Venom 2, let there be carnage » trois ans après le premier « Venom », Marvel continue de miser sur cet anti-héros atypique au sein des super-héros.

Effrayant, repoussant, Venom est une créature démoniaque mettant en relief le coté « mauvais » d'un Eddie Brock en comparaison plus policé et souvent dépassé par les évènements.

Le second volet propose donc un scénario basique ultra convenu avec l'émergence d'un nouveau méchant copié/collé de Venom, l'efficacité des effets spéciaux suffisant pour permettre au film d'atteindre le niveau minimum d’intérêt.

Sans génie, ce Venom remplit donc son office : divertir tout en faisant un peu peur...

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