The boys, saison 1, épisode 8 (Erick Kripke)

 



Dans « The boys, saison 1, épisode 8 », après l'intervention spectaculaire du Protecteur (Antony Starr) pour décimer un groupuscule terroriste, l’intégration des super héros de Vought au sein de l'armée devient un fait incontestable et Madelyne (Elisabeth Shue) reçoit une belle promotion.

Comprenant que la CIA ne peut rien contre l'ascension irréversible de Vought, Bill (Karl Urban) passe à l'attaque individuellement et exploitant la seule vulnérabilité connue du Protecteur , prend en otage Madelyne qu'il harnache d'explosifs avec un détonateur dans sa main.

Mais avec un grand cynisme le Protecteur lui avoue que Becca (Shantel Van Santen) lui a sauté dessus et lui fait ensuite comprendre qu'il n'a aucune sentiment pour Madelyne en la tuant froidement d'une décharge oculaire.

Alors que Bill s’apprête à exploser, le Protecteur le téléporte dans un lieu sur pour lui présenter Becca et leur fils vivant paisiblement dans une maison de banlieue.

Du coté des autres protagonistes, l'Homme-poisson (Chace Crawford) comprend qu'il ne sera pas réintégré dans le groupe et sombre dans la dépression, tandis que A-Train (Jessie Usher) se remet de sa blessure à la jambe en augmentant ses doses de produits dopants.

Vought fait capturer Kimiko (Karen Fukuhara), la Crème, le Français et Hughie (Jack Quaid) avec l'aide d'A-train, dont la vitesse finit par triompher des pouvoirs énergétiques encore mal maitrisés d'Annie (Eri Moriarty).

En conclusion, « The boys, saison 1, épisode 8 » clot une première saison un peu bancale.

D'un coté un univers thrash démontrant le coté des sombre de super héros fabriqués de toutes pièces par des traitements chimiques à des fins de profit/pouvoir, de l'autre un petit commando censé incarner le summum du « cool » entre un Brad Pitt de série B, un étudiant attardé sympathique mais un peu perdu, et une mutante asiatique sauvage...

Si le Protecteur, sorte de Superman névrosé et complexe fascine par sa grandeur, derrière c'est le vide absolu ou presque, à l'exception sans doute d'A-Train, sprinter junky très très antipathique..

Si la série contient un potentiel prometteur, on attend plus des autres saisons avec la montée en puissance de personnages plus charismatiques !

A suivre donc.

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