The boys, saison 2, épisode 1 (Eric Kripke)

 




Dans « The boys, saison 2, épisode 1 », après la mort de Madelyne (Elisabeth Shue), Bill (Karl Urban) doit se faire discret tandis que de son coté, le Protecteur (Antony Starr) en profite pour prendre le contrôle de Vought.

Il recale ainsi avec cruauté Angle mort (Chris Mark) un nouvel aspirant, aveugle mais doté de super-ouie, mais alors que l'adhésion des super héros à l'armée américaine est à présent entérinée, se heurte à l'autorité de Stan Edgar (Giancarlo Esposito), qui s'érige en nouveau directeur de Vought.

Malgré ses super pouvoirs, le Protecteur doit reconnaître avoir le dessous lorsque, lui avoue avoir percé son stratagème : disséminer le composé V auprès des terroristes pour en faire des super criminels et ainsi emporter la décision face au congrès américain comme le montre l'intervention de Black Noir (Nathan Mitchell) qui élimine sans difficulté le super terroriste de l'EI doté de pouvoirs inflammables.

Du coté du commando de « rebelles », Hughie (Jack Quaid) obtient finalement l'aide d'Annie (Erin Moriarty) pour l'aider à recueillir des échantillons du composé V.

Faisant fi des risques, Erin force Gecko (David Thompson), un super héros doté pouvoir de régénération céllulaire viole l'accès au laboratoire d'expériences top secrètes de la Vought pour la fournir en échantillon.

Alors que l'Homme-poisson (Chace Crawford) s'enfonce dans l'alcool et la dépression au point de semer la panique dans un parc aquatique, il est finalement recueilli par le super héros Aigle Archer (Langston Kerman) qui lui propose une psychothérapie.

Enfin, l'assassinat par implosion, de Raynor (Jennifer Esposito) directrice adjointe de la CIA et principale alliée gouvernementale du commando, les force à recourir à l'aide de Billy, contre l'avis d'Hughie....

En conclusion, « The boys, saison 2, épisode 1 » démarre de belle manière la saison 2 en montrant les aspirations du Protecteur à tout contrôler mais celles-ci malgré son immense pouvoir contre-carrées par Edgar, plus retors.

La violence jusqu'à un niveau absurde est toujours omniprésente, tel ce carnage de terroristes au Moyen-Orient ou l'implosion du crane de la directrice adjointe de la CIA qu'on pressentait pourtant comme un pilier de la série...

Un démarrage sur les chapeaux de roues donc pour une série toujours aussi hardcore !

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