Captain-america n°282 (John Marc de Matteis, Mike Zeck)
Retour bienvenu aux comic books avec « Captain-america n°282 » véritable pièce de collection de 1983 crée par John Marc de Matteis (scénario) et Mike Zeck (dessins).
Ici, on suit Captain-america drogué par le Venin de Vipère, chef d’une organisation criminelle et délirant dans une cellule en voyant les visages de son père, ses amis et son ennemi Constrictor, mercenaire embauché par la Vipère pour le capturer.
Malgré un courageux sursaut, Captain est rapidement maitrisé par les tentacules électriques de Constrictor mais Gail Runciter, une agent du S.H.I.E.L.D infiltrée laisse de coté tous les protocoles de sécurité pour avertir Nick Fury de la situation critique.
A Brooklyn, Buck se torture de la disparition de Captain et devient agressif vis-à-vis de Sam Wilson/le Faucon lorsque celui-ci lui refuse son aide.
Peu rancunier, Wilson oriente Bucky et son amie Bernie Rosenthal vers le S.H.I.E.L.D.
Tout en renâclant, le bougon Fury les reçoit, leur explique la dangerosité des buts terroristes de la Vipère, ce que la principale intéressée confirme d’elle-même en voulant propager le virus mortel de la peste bubonique sur Terre.
Cette dangerosité ébranle même le rude Constrictor, qui commence à douter de sa fidélité.
Après avoir essuyé un refus de Spider-woman, Fury envoie le Nomad parachuté par Duncan pour sauver Captain mais celui-ci aux prises avec les hommes de Vipère se fait berner par Captain-america contrôlé psychiquement au travers une drogue.
Alors que Nomad est capturé, la situation devient critique lorsque Duncan resté en arrière succombe à un malaise.
En conclusion, malgré son age vénérable, « Captain-america n°282 » est un l’un de ses petits bijoux que j’affectionne : une histoire simple mais bien écrite, une situation sous tension extrême montrant un héros capturé et vulnérable torturé par un passé douloureux et des ennemis crédibles car redoutables avec une femme aussi sexy que redoutable à leur tête.
Le style puisant et élégant, de Mike Zeck est également pour beaucoup dans le charme absolu de cette aventure old-school de Captain.
Un véritable régal donc teinté du parfum divin de la nostalgie !
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