What if …, Steve Rogers had refused to give up being Captain-america numero 2 (Jim Valentino, Dave Simons)

 

Sorti en 1989, la série « What if …, Steve Rogers had refused to give up being Captain-america numero 2 » est  signée Jim Valentino (scénario) et Dave Simons (dessins).

Dans cette célèbre série alternative dirigée par le Gardien, Captain-america est ici sommé de se ranger sous les ordres du Gouvernement américain et de renoncer ainsi à sa chère indépendance.

C’est un véritable cas de conscience pour Rogers, qui hésitant à prendre sa décision est agressé par la Freedom Force (Colosse, Mystik, Pyro, Avalanche, Destiny).

Fort heureusement ses amis Vengeurs (Thor, Miss Hulk, Chevalier noir, Docteur Druide, Captain-Marvel, Prince des mers) s’interposent et une lutte de grande ampleur prend alors place jusqu’à dissuader ces mauvais mutants tardivement intégrés dans le giron fédéral d’une intervention musclée.

Mais Douglas Rockwell du Pentagone charge Super patriot et trois assistants formés par le Maitre d’armes de capturer le Vengeur ailé.

Alors que Cap s’apprête à faire une déclaration publique avec ses proches (Faucon, Patriot, Rick Jones, D-man, Diamondback) à Washington square, le quatuor passe à l’attaque et déclenche une violente bagarre interrompue par l’arrivée de Nick Fury et ses troupes.

Contre toute attente, Ronald Reagan lui-même absout Captain-america de toute tutelle gouvernementale, celle-ci étant dévolue à Super patriot et son équipe.

Mais Rockwell controlé à distance assassine Captain et si Fury tue le traitre, le mal est fait.

John Walker est alors nommé remplaçant mais se distingue par sa violence et le peur de respect de la vie humaine.

Si Walker est finalement arrêté et condamné, le commanditaire de toute ceci est finalement révélé : Crane rouge réincarné en sosie de son pire ennemi, qui jubile de sa réussite.

En conclusion, « What if …, Steve Rogers had refused to give up being Captain-america numero 2 » est une variante de faible ampleur qui ne passionne gère et se conclue de manière bien tragique par le triomphe de Crane rouge.

Censé apporter un peu de piment, la confrontation entre les Vengeurs et la Freedom force ne tient pas ses promesses et fait juste figure de faire valoir.

Un jeu donc bien vain qui ne vaut guère le détour !