Narcos, Mexico, saison 1, épisode 7 (Carlo Bernard, Doug Miro, Chris Brancato)

 



« Narcos, Mexico, saison 1, épisode 7 », débute par le meurtre stupide du fils de Don Neto (Joaquin Cosio) à la sortie d'un combat de boxe.

Son meilleur ami qui l'a abattu par erreur à la suite d'une bagarre dans la rue est rongé par la culpabilité et si Don Neto fait mine de l'épargner, il n'en charge pas moins un de ses porte-flingue de l'éliminer.

Du coté des affaires, Diego Luna (Felix Gallardo) réorganise les « plazzas » et écarte ostensiblement Rafa (Tenoch Huerta) et Isabella (Teresa Ruiz).

Alors que le premier se sent humilié par Amando (José Maria Yazpik) qui s'affiche ostensiblement avec Sofia (Tessa Ia) , la seconde sèchement éconduite alors qu'elle escomptait 20% des bénéfices part en proférant des menaces.

Nava (Ernesto Alterio) réclame aussi sa part du gâteau mais lassé de ses incessantes demandes, Luna finit par le tuer presque à mains nues.

Du coté des agents de la DEA, alors Camarena (Michael Pena) s’apprête à repartir pour San Diego après avoir obtenu un mutation, Jaime (Matt Letscher) parvient à convaincre les autorités américaines de lancer une opération d'envergure contre les plantations de cannabis de Rafa, sans se douter que le cartel a déjà délaissé cette production pour l'importation plus lucrative de cocaïne sur le sol américain.

Dans cet épisode marqué par un haut niveau de violence, Rafa et ses hommes massacrent deux touristes américains dans un restaurant en les prenant par mégarde pour des policiers alors qu'ils prenaient simplement des notes pour l'écriture d'un roman.

Une nouvelle fois la DEA fait chou blanc face à un adversaires trop malin/puissant pour elle.

En conclusion, « Narcos, Mexico, saison 1, épisode 7 » hausse le niveau en terme de violence et de cruauté jusqu'à atteindre des niveaux absurdes.

Dans cet épisode difficile, Luna s'affranchit de la tutelle de ses alliés des premiers jours : Neva, Isabella et son « frère » Rafa pour faire prendre à son business un nouvel envol.

En comparaison, les autorités mexicano-américaines paraissent toujours avoir un train de retard et si timorées qu'elles frôlent le ridicule en donnant la part belle aux bandits !

Une cruelle leçon !












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