Le bureau des légendes, saison 1, épisode 2 (Eric Rochant)

 



Dans « Le bureau des légendes, saison 1, épisode 2 » met en scène dit Malotru  (Mathieu Kassovitz) continue de revoir en cachette Nadia (Zineb Triki) sous sa fausse identité de Damas, Paul Lefebvre, mais ses agissements ne tardent pas à attirer la méfiance de Dufflot (Jean-Pierre Darroussin) qui a l'impression que son récent directeur adjoint est dans une phase critique de dépression post mission d'infiltration.

Ces doutes coïncident avec la disparition inquiétante de Cyclone (Mehdi Nebbou) qu'on soupçonne à présent d’être un agent double algérien.

Par mesure de sécurité, Shérif Gherbi (Atmen Kelif) un autre agent en poste à Alger est exfiltré vers Paris en prétextant un problème familial, la rechute de son frère, atteint d'un cancer.

Toujours coaché par Malotru, Marina (Sara Giraudeau) simule une démission de la DGSE pour commencer sa mission d'infiltration en approchant dans un séminaire, une directrice de l'institut de physique du globe afin de l'employer dans un programme de coopération franco-iranien.

Laurène Balmes (Léa Drucker) une psychiatre fraichement embauchée au bureau des légendes sonde le caractère de Malotru et fait part de ses doutes à Dufflot.

Les deux hommes ont une explication musclée en bas d'un hôtel miteux dans lequel Malotru a passé la nuit avec Nadia.

Mais après cette nuit, Malotru se met à douter de Nadia elle-même, en constatant son absence du cycle de conférence qu'elle est censée suivre à Paris et ses multiples appels alors qu'ils sont ensemble.

Subitement, il se sent menacé en ayant enfreint les règles les plus élémentaires de sécurité.

En conclusion, « Le bureau des légendes, saison 1, épisode 2 » se montre plus convainquant qu'un premier épisode bien terne et commence à construire une histoire surfant sur un sentiment de paranoïa autour de son personnage principal, se mettant en danger par amour pour une « relation »» revenue de Syrie.

Malgré cette progression intéressante, on reste un peu atterré de l'ambiance tristounette et du manque de punch de ce début de série.

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