Avengers, volume 1 numero 313 (John Byrne, Paul Ryan, Tom Palmer)
La suite des actes de vengeance en 1990, « Avengers, volume 1 numéro 313 » de John Byrne (scénario), Paul Ryan et Tom Palmer (dessins) montre la colère de la foule massée à l’extérieur du parc dans lequel se sont affrontés les Vengeurs et la Freedom force.
Mais l’arrivée du Mandarin premier de la ligue des super criminels à entrer en lice ne va pas apaiser la foule d’autant plus que le pire ennemi d’Iron-man se montre particulièrement impitoyable en carbonisant des policiers ayant eu l’audace de lui demander de quitter les lieux.
Tandis que Crane rouge et Fatalis en viennent aux mains, les Vengeurs partis en exploration sous- marine afin de retrouver les restes de leur manoir englouti, sont forcé de revenir sur les lieux de l’attaque.
Venu en soutien, le Sorcier est surprenant et parvient à défaire consécutivement des mastocs comme Wonder-man et la Vision.
Les renforts constitués par la Veuve noire/Hellcat et même Captain-america ne font que distraire le Mandarin, tandis que Magneto enlève la Sorcière rouge partie se ressourcer auprès de sa tante.
Lorsque Wonder man se reprend pour prendre sa revanche face au Sorcier et que Thor arrive pour remettre le Mandarin à sa juste mesure en endommageant son armure ce qui l’oblige à se téléporter hors d’atteinte laissant le Sorcier aux mains des Vengeurs.
De retour auprès de la ligue, le Mandarin essuie de vives critiques de la part de Crane rouge mais les vifs débats s’arrêtent lorsque le corps de Fatalis explose, révélant qu’il n’était qu’un simple robot.
En conclusion, « Avengers, volume 1 numéro 313 » place cette fois la ligue des super-criminels au cœur de l’action avec l’entrée en lice du Mandarin, du Sorcier puis de Magnéto dans un registre moins frontal.
Les vives tensions déchirent les égos des criminels, Fatalis se montrant encore une fois plus roublard que les autres…
On a donc juste l’impression d’un plaisant apéritif en attendant la suite, sans réellement pour l’instant comprendre quels fils sont tissés dans l’ombre et surtout rester dubitatif devant la cohésion d’une équipe aussi hétérogène.
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