The mighty Thor, volume 2, numéro 35 (Dan Jurgens, Andy Kubert)


 

Suite logique au précédent numéro de 2001, « The mighty Thor, volume 2, numéro 35 » est toujours signé Dan Jurgens (scénario) et Andy Kubert (dessins).

Avant de rentrer dans le vif du combat acharné entre les deux poids lourds du monde Marvel, une plongée dans le futur montre Artur Zarkko comme le commanditaire de l’attaque dans le présent de Gladiator afin d’empêcher la ruine de la Terre par Thor.

Heureusement pour le dieu du tonnerre, la fougueuse Tancrède s’interpose et tient suffisamment tête au prétorien de Shi’ar avant qu’il ne s’en débarrasse en la congelant.

Cet interlude permet à Amanda Farimont puis la guérisseuse Christine de trainer le corps inanimé de Jake Olson à l’abri.

Tandis qu’à Asgard, Ulik furieux d’avoir été affamé par le règne de Sif déchaine ses hordes de Trolls en provoquant une nouvelle guerre d’envergure, les deux femmes véhiculent Jake jusqu’à la piste de l’aéroport de la Guardia ou se trouve le marteau de Thor envoyé là par un puissant coup de pied de Gladiator.

Après avoir frappé à nouveau le sol, Jake redevient le dieu du tonnerre et reprend son combat contre Gladiator.

Les deux héros unissent pourtant brièvement leurs forces pour stabiliser un avion perturbé par leur combat puis Thor déchaine toute sa puissance pour prendre le dessus, Tancrède libérée par Sif achevant le travail en libérant une puissante dose d’énergie le mettant hors combat.

Vaincu, Gladiator est téléporté dans le futur par Odin réveillé de son sommeil par Ulik et doit rendre compte de son échec à Zarkko.

Au final, on découvre que Christine est en réalité l’Enchanteresse, ennemie héréditaire de Thor…

En conclusion, « The mighty Thor, volume 2, numéro 35 » tient toutes ses promesses et révèle après quelques frissons la légère supériorité de Thor sur Gladiator dont les pouvoirs bien qu’immenses semblent inférieurs à ceux d’un dieu du tonnerre à son maximum.

Lorsqu’en plus Tancrède, Sif et Odin s’en mêlent, il est logique que Gladiator est le dessous et reparte vaincu.

Le match de poids lourds tient donc toutes ses promesses grâce au trait de plume viril et puissant de Kubert.

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