Alien legion, numéro 5 (Carl Potts, Larry Stroman)
Acheté au Brésil, « Alien legion, numéro 5 » compile de histoires écrite par Carl Potts et dessinés par Larry Stroman de 1987 à 1989.
Ici le redoutable General Gokk à l’aspect d’un ours manœuvre le politicien Galactor Grotakus, pour le forcer à approuver au nom de l’Union, l’attaque par sa Force nomade des Orestes pour les punir d’avoir établi avec les Harkilons une alliance commerciale secrète.
La première phase de concerne Kreedes, la planète centrale des Orestes, ciblée par une attaque commando de Nahkira et Tamara qui réussissent à s’infiltrer dans le système informatique bancaire afin d’injecter un virus faisant perdre les précieuses données des transactions commerciales.
Leur découverte par les Orestes ne change rien à la réussite de leur mission et à l’attaque de la Force nomade commandée par deux humanoïdes le capitaine Jugger Grimrod et son lieutenant Torrie Montroc.
Après un bombardement d’armes photoniques de la planète Braal 7, Jugger comprend que les Harkilons sont loin d’avoir été détruits et la riposte de leurs aéronefs les conduit à se poser en catastrophe sur la planète.
Désireux de vouloir secourir Jugger, Torrie reçoit pourtant l’ordre de l’abandonner lui et ses hommes à son sort afin de ne pas risquer plus de pertes de la flotte.
Dès leur atterrissage catastrophe, les légionnaires sont capturés par les Harkilons et emmenés dans un centre de détention avant de les employer dans les mines de cristal d’une planète désertique et inhospitalière.
Alors que Grotakus inquiet des conséquences politiques pour sa carrière entérine la décision d’abandonner les légionnaires, le major Sarigar confirme à Torrie cette décision dans un entretien privé.
Sur Braal 7, les légionnaires utilisent une énorme créature reptilienne chargée de les garder pour créer leurs propres conditions d’évasion en le rapprochant de sa partenaire femelle pour le distraire de sa féroce vigilance et ensuite lâcher les deux monstres pour dévorer leurs gardiens Harkilons.
En conclusion, « Alien legion, numéro 5 » est un comics aujourd’hui un peu daté mais qui contient une certaine élégance et un charme suranné.
Cette histoire de légionnaires têtes brulées envoyées au casse pipe n’a rien de bien originale ni l’univers typiquement SF imaginé par Potts, cependant on se laisse emporter avec un certain plaisir par le style graphique élégant et racé de Stroman.
Pas le meilleur comics du monde donc mais certainement efficace dans son genre !
Ici le redoutable General Gokk à l’aspect d’un ours manœuvre le politicien Galactor Grotakus, pour le forcer à approuver au nom de l’Union, l’attaque par sa Force nomade des Orestes pour les punir d’avoir établi avec les Harkilons une alliance commerciale secrète.
La première phase de concerne Kreedes, la planète centrale des Orestes, ciblée par une attaque commando de Nahkira et Tamara qui réussissent à s’infiltrer dans le système informatique bancaire afin d’injecter un virus faisant perdre les précieuses données des transactions commerciales.
Leur découverte par les Orestes ne change rien à la réussite de leur mission et à l’attaque de la Force nomade commandée par deux humanoïdes le capitaine Jugger Grimrod et son lieutenant Torrie Montroc.
Après un bombardement d’armes photoniques de la planète Braal 7, Jugger comprend que les Harkilons sont loin d’avoir été détruits et la riposte de leurs aéronefs les conduit à se poser en catastrophe sur la planète.
Désireux de vouloir secourir Jugger, Torrie reçoit pourtant l’ordre de l’abandonner lui et ses hommes à son sort afin de ne pas risquer plus de pertes de la flotte.
Dès leur atterrissage catastrophe, les légionnaires sont capturés par les Harkilons et emmenés dans un centre de détention avant de les employer dans les mines de cristal d’une planète désertique et inhospitalière.
Alors que Grotakus inquiet des conséquences politiques pour sa carrière entérine la décision d’abandonner les légionnaires, le major Sarigar confirme à Torrie cette décision dans un entretien privé.
Sur Braal 7, les légionnaires utilisent une énorme créature reptilienne chargée de les garder pour créer leurs propres conditions d’évasion en le rapprochant de sa partenaire femelle pour le distraire de sa féroce vigilance et ensuite lâcher les deux monstres pour dévorer leurs gardiens Harkilons.
En conclusion, « Alien legion, numéro 5 » est un comics aujourd’hui un peu daté mais qui contient une certaine élégance et un charme suranné.
Cette histoire de légionnaires têtes brulées envoyées au casse pipe n’a rien de bien originale ni l’univers typiquement SF imaginé par Potts, cependant on se laisse emporter avec un certain plaisir par le style graphique élégant et racé de Stroman.
Pas le meilleur comics du monde donc mais certainement efficace dans son genre !
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