O mecanismo, saison 1, épisode 5 (José Padilha)
Dans « O mecanismo, saison 1, épisode 5», les appuis politiques de Rangel (Leonardo Medeiros) sont finalement assez efficaces pour le faire sortir de prison et c’est un homme euphorique qui rejoint les siens à Rio de Janeiro.
Guilherme (Osvaldo Mil) est encore une fois très utile lorsqu’il pirate le PC d’un policier corrompu (Leonardo Rosa) et enregistre la vidéo des ébats d’Ibrahim (Enrique Dias) avec Kitano (Alessandra Colassanti) en pleine cellule.
Mis au courant, Ruffo (Selton Mello) jubile et utilise la vidéo pour présenter une photo compromettante à la femme d’Ibrahim, qui folle de rage, lui fait une violente scène arrivée à la prison.
Verena (Caroline Abras) n’est pas pour autant restée inactive et parvient grâce à l’aide du précieux Guilherme à mettre en évidence que Rangel continue de faire sortir des millions de reals vers l’étranger.
De manière plutôt opportuniste, Claudio (Lee Taylor) qui a repris sa liaison avec Verena, exploite ses données pour en informer directement Riggo (Otto Jr)
Cette petite victoire n’est pourtant pas suffisante car le sort de l’opération reste entre les mains des juges du tribunal suprême à Brasilia.
Malgré les appuis politiques de l’ex président Joao Higino (Arthur Kohl), les juges, plutôt acquis à l’opposition, déclarent que le procès doit rester dans les mains de Riggo à Curitiba.
C’est ainsi que Rangel se retrouve de nouveau sous les barreaux mais cette fois extradé vers un véritable pénitencier ou se trouvent de dangereux détenus de droit commun, dans l’espoir de le faire craquer psychologiquement et de balancer ses complices.
Furieuse d’avoir été trahie une nouvelle fois par Claudio, Verena se met également à douter de Guilherme et comprend qu’il est la taupe de Ruffo, avec qui elle a une explication musclée dans son garage, transformé en PC anti corruption.
En conclusion, « O mecanismo, saison 1, épisode 5 » peine toujours à trouver son rythme, entre complexité d’un processus judiciaire qui traine en longueur, vengeance un peu infantile d’un ex policier revenu par miracle des morts et ténacité d’une femme à la tête d’une petite équipe déjà divisée par l’ambition personnelle…
On attend toujours mieux du travail de Padilha pour décortiquer avec passion le scandale !
Guilherme (Osvaldo Mil) est encore une fois très utile lorsqu’il pirate le PC d’un policier corrompu (Leonardo Rosa) et enregistre la vidéo des ébats d’Ibrahim (Enrique Dias) avec Kitano (Alessandra Colassanti) en pleine cellule.
Mis au courant, Ruffo (Selton Mello) jubile et utilise la vidéo pour présenter une photo compromettante à la femme d’Ibrahim, qui folle de rage, lui fait une violente scène arrivée à la prison.
Verena (Caroline Abras) n’est pas pour autant restée inactive et parvient grâce à l’aide du précieux Guilherme à mettre en évidence que Rangel continue de faire sortir des millions de reals vers l’étranger.
De manière plutôt opportuniste, Claudio (Lee Taylor) qui a repris sa liaison avec Verena, exploite ses données pour en informer directement Riggo (Otto Jr)
Cette petite victoire n’est pourtant pas suffisante car le sort de l’opération reste entre les mains des juges du tribunal suprême à Brasilia.
Malgré les appuis politiques de l’ex président Joao Higino (Arthur Kohl), les juges, plutôt acquis à l’opposition, déclarent que le procès doit rester dans les mains de Riggo à Curitiba.
C’est ainsi que Rangel se retrouve de nouveau sous les barreaux mais cette fois extradé vers un véritable pénitencier ou se trouvent de dangereux détenus de droit commun, dans l’espoir de le faire craquer psychologiquement et de balancer ses complices.
Furieuse d’avoir été trahie une nouvelle fois par Claudio, Verena se met également à douter de Guilherme et comprend qu’il est la taupe de Ruffo, avec qui elle a une explication musclée dans son garage, transformé en PC anti corruption.
En conclusion, « O mecanismo, saison 1, épisode 5 » peine toujours à trouver son rythme, entre complexité d’un processus judiciaire qui traine en longueur, vengeance un peu infantile d’un ex policier revenu par miracle des morts et ténacité d’une femme à la tête d’une petite équipe déjà divisée par l’ambition personnelle…
On attend toujours mieux du travail de Padilha pour décortiquer avec passion le scandale !
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