King Kong (Peter Jackson)
Sorti en 2005, « King Kong » est le remake de Peter Jackson du célèbre film de 1933 qui avait lui-même connue un remake en 1976.
Tout auréolé du succès du « Seigneur des anneaux », Jackson brosse le portrait dans le New York des années 30 de Carl Denham (Jack Black), réalisateur passionné et fou qui malgré l’opposition forcenée de ses producteurs, désire aller tourner un film sur un ile inconnue dite du Crane, perdue au milieu de l’Océan indien.
Dans le même temps, Ann Darrow (Naomi Watts) une danseuse de Broadway se retrouve sans emploi à la suite de la Grande dépression qui frappe les Etats-Unis.
Usant de roublardise et d’un zeste de chance, Denham parvient à convaincre Darrow encore inconnue de rejoindre son équipe ainsi que l’écrivain Jack Driscoll (Adrien Brody) pour embarquer sur un cargo en direction de l’ile imaginaire.
La traversée est longue et pénible dans un navire au confort parfois spartiate pour Driscoll qui doit « loger » dans une cage pour animaux que lui attribue le capitaine revêche Englehorn (Thomas Kretschmann).
Ceci ne l’empêche pas de nouer une relation avec la jolie Ann qui doit partager la vedette du film avec l’acteur Bruce Baxter (Kyle Chandler) bellâtre imbu de lui-même.
Englehorn menace de dévier de route lorsqu’il apprend qu’un mandat d’arrêt a été émis contre Denham mais les choses changent lorsque le navire approche finalement une ile absente de toutes les cartes maritimes.
Manquant de faire naufrage sur les rochers effilés, le cargo s’immobilise.
Denham et son équipe débarquent sur des chaloupes, impatients de découvrir l’ile et de tourner.
La découverte de squelettes humains ne les découragent pas mais ils se font agresser brutalement par un tribu autochtone particulièrement effrayante.
L’intervention d’Englehorn et ses hommes, le second Hayes (Evan Park), le matelot Choy (Lobo Chan) et le jeune mousse Jimmy (Jamie Bell) qui dispersent les sauvages à coups de balles, Ann est enlevée et destinée à un mystérieux sacrifice.
Le temps de comprendre et d’investir le camp adverse retranché derrière une haute forteresse, Ann a été enlevée par un immense gorille du nom de Kong.
Loin de la tuer et de la dévorer comme les autres victimes, Kong semble séduit par Ann et en devient le protecteur.
Les hommes décident cependant de mener une expédition de 24h pour la retrouver à travers une jungle dense et hostile habitées de créatures préhistoriques.
Les aventuriers doivent survivre à une charge d’immenses brontosaures harcelés par des allosaures particulièrement voraces et perdent des hommes dans le piétinement qui en résulte.
Herb (John Sumner) le courageux cameraman de Denham finit dans la gueule des reptiles.
Ils retrouvent Kong mais le gorille furieux contre les hommes qui tirent sur lui, massacre Hays, Choy et les précipite les autres membres de l’équipe du haut d’une falaise.
De son coté, Ann tente de fuir Kong et atterrit en pleine jungle ou elle doit échapper aux crocs d’énormes lézards et autres insectes peu ragoutants.
Mais le pire reste à venir avec deux tyrannosaures qui décident de la croquer pour leur gouter.
Heureusement Kong intervient et après une lutte exceptionnelle, réussit à triompher de trois T-Rex tout en protégeant sa bien aimée.
Les survivants sont attaqués par d’horribles cafards et autres sangsues vivantes.
Une nouvelle fois Englehorn sauve la mise à Denham et Driscoll en fâcheuse posture face à de monstrueuses araignées…
Malgré les pertes énormes, Driscoll refuse de renoncer à Ann et se rend seul sur la montagne de Kong.
Profitant de l’assoupissement de la bête et d’une attaque surprise de chauve souris qui le distraient, il enlève Ann et entreprend de descendre avec elle avec une liane.
Kong réagit mais le duo parvient à s’enfuir en utilisant une chauve souris comme parachute.
Mais l’animal monstrueux s’est à présent entiché de sa belle et se lance à son tour dans une recherche frénétique.
Denham qui a pour projet de le capturer lui lance un filet géant puis des bouteilles de chloroforme avec un succès relatif.
Kong tue encore et est prêt à entrer dans la mer pour arrêter les chaloupes.
Ralenti par un harpon à baleine de Englehorn, il est finalement endormi par Denham.
La dernière partie du film se déroule de nouveau à New-York ou Kong doit être exhibé dans les théâtres de Broadway dans un spectacle de music hall grotesque.
Mais lors de la première, l’animal irrité brise ses lourdes chaines, agresse la foule et sème la panique dans la ville.
Driscoll tente de le distraire, sans succès car il veut seulement retrouver Ann qu’il cherche dans toutes les New-Yorkaises.
Finalement Ann se montre ravie de retrouver son monstre et prend plaisir à glisser avec lui sur le lac gelé de Central Park. L’intervention de l’armé gâche ses retrouvailles contre nature et l’animal blessé grimpe sur le Baxter building pour y retrouver refuge.
Malgré la présence d’Ann qui tente d’arrêter les soldats, les avions mitraillent sans relâche le monstre qui même si il en détruit quelques uns finit par succomber aux tirs de mitrailleuses lourdes.
Kong lâche finalement prise du haut de la tour, tombant inanimé après un dernier regard pour sa belle.
En conclusion, « King-Kong » est le meilleur film de Jackson, un chef d’œuvre absolu, qui sublime toutes les versions du mythe, y compris celle de l’originale.
Pendant 3h on est emporté dans la grandeur de ce cinéma d’aventures, avec un maestria étonnante dans la réalisation, des scènes d’actions époustouflantes sur l’ile avec combats de dinosaures, insectes monstrueux au milieu duquel trône l’invincible gorille.
Après le combat culte face aux tyrannosaures montrant toute la géniale virtuosité de Jackson, vient la partie urbaine plus classique avec des scènes de catastrophes dans un New-York des années 30 brillamment reconstitué.
Derrière l’action, Jackson sait faire passer l’émotion avec un contraste parfait entre la puissance brutale/animale du colosse et la douceur/fragilité/pureté de Naomi Watts, parfaite dans le rôle à l’époque…
« King-Kong » est donc un grand film qui ne pourra que séduire les amateurs de ce pour quoi le cinéma a été crée : emporter, émouvoir, faire rêver, distraire !
Tout auréolé du succès du « Seigneur des anneaux », Jackson brosse le portrait dans le New York des années 30 de Carl Denham (Jack Black), réalisateur passionné et fou qui malgré l’opposition forcenée de ses producteurs, désire aller tourner un film sur un ile inconnue dite du Crane, perdue au milieu de l’Océan indien.
Dans le même temps, Ann Darrow (Naomi Watts) une danseuse de Broadway se retrouve sans emploi à la suite de la Grande dépression qui frappe les Etats-Unis.
Usant de roublardise et d’un zeste de chance, Denham parvient à convaincre Darrow encore inconnue de rejoindre son équipe ainsi que l’écrivain Jack Driscoll (Adrien Brody) pour embarquer sur un cargo en direction de l’ile imaginaire.
La traversée est longue et pénible dans un navire au confort parfois spartiate pour Driscoll qui doit « loger » dans une cage pour animaux que lui attribue le capitaine revêche Englehorn (Thomas Kretschmann).
Ceci ne l’empêche pas de nouer une relation avec la jolie Ann qui doit partager la vedette du film avec l’acteur Bruce Baxter (Kyle Chandler) bellâtre imbu de lui-même.
Englehorn menace de dévier de route lorsqu’il apprend qu’un mandat d’arrêt a été émis contre Denham mais les choses changent lorsque le navire approche finalement une ile absente de toutes les cartes maritimes.
Manquant de faire naufrage sur les rochers effilés, le cargo s’immobilise.
Denham et son équipe débarquent sur des chaloupes, impatients de découvrir l’ile et de tourner.
La découverte de squelettes humains ne les découragent pas mais ils se font agresser brutalement par un tribu autochtone particulièrement effrayante.
L’intervention d’Englehorn et ses hommes, le second Hayes (Evan Park), le matelot Choy (Lobo Chan) et le jeune mousse Jimmy (Jamie Bell) qui dispersent les sauvages à coups de balles, Ann est enlevée et destinée à un mystérieux sacrifice.
Le temps de comprendre et d’investir le camp adverse retranché derrière une haute forteresse, Ann a été enlevée par un immense gorille du nom de Kong.
Loin de la tuer et de la dévorer comme les autres victimes, Kong semble séduit par Ann et en devient le protecteur.
Les hommes décident cependant de mener une expédition de 24h pour la retrouver à travers une jungle dense et hostile habitées de créatures préhistoriques.
Les aventuriers doivent survivre à une charge d’immenses brontosaures harcelés par des allosaures particulièrement voraces et perdent des hommes dans le piétinement qui en résulte.
Herb (John Sumner) le courageux cameraman de Denham finit dans la gueule des reptiles.
Ils retrouvent Kong mais le gorille furieux contre les hommes qui tirent sur lui, massacre Hays, Choy et les précipite les autres membres de l’équipe du haut d’une falaise.
De son coté, Ann tente de fuir Kong et atterrit en pleine jungle ou elle doit échapper aux crocs d’énormes lézards et autres insectes peu ragoutants.
Mais le pire reste à venir avec deux tyrannosaures qui décident de la croquer pour leur gouter.
Heureusement Kong intervient et après une lutte exceptionnelle, réussit à triompher de trois T-Rex tout en protégeant sa bien aimée.
Les survivants sont attaqués par d’horribles cafards et autres sangsues vivantes.
Une nouvelle fois Englehorn sauve la mise à Denham et Driscoll en fâcheuse posture face à de monstrueuses araignées…
Malgré les pertes énormes, Driscoll refuse de renoncer à Ann et se rend seul sur la montagne de Kong.
Profitant de l’assoupissement de la bête et d’une attaque surprise de chauve souris qui le distraient, il enlève Ann et entreprend de descendre avec elle avec une liane.
Kong réagit mais le duo parvient à s’enfuir en utilisant une chauve souris comme parachute.
Mais l’animal monstrueux s’est à présent entiché de sa belle et se lance à son tour dans une recherche frénétique.
Denham qui a pour projet de le capturer lui lance un filet géant puis des bouteilles de chloroforme avec un succès relatif.
Kong tue encore et est prêt à entrer dans la mer pour arrêter les chaloupes.
Ralenti par un harpon à baleine de Englehorn, il est finalement endormi par Denham.
La dernière partie du film se déroule de nouveau à New-York ou Kong doit être exhibé dans les théâtres de Broadway dans un spectacle de music hall grotesque.
Mais lors de la première, l’animal irrité brise ses lourdes chaines, agresse la foule et sème la panique dans la ville.
Driscoll tente de le distraire, sans succès car il veut seulement retrouver Ann qu’il cherche dans toutes les New-Yorkaises.
Finalement Ann se montre ravie de retrouver son monstre et prend plaisir à glisser avec lui sur le lac gelé de Central Park. L’intervention de l’armé gâche ses retrouvailles contre nature et l’animal blessé grimpe sur le Baxter building pour y retrouver refuge.
Malgré la présence d’Ann qui tente d’arrêter les soldats, les avions mitraillent sans relâche le monstre qui même si il en détruit quelques uns finit par succomber aux tirs de mitrailleuses lourdes.
Kong lâche finalement prise du haut de la tour, tombant inanimé après un dernier regard pour sa belle.
En conclusion, « King-Kong » est le meilleur film de Jackson, un chef d’œuvre absolu, qui sublime toutes les versions du mythe, y compris celle de l’originale.
Pendant 3h on est emporté dans la grandeur de ce cinéma d’aventures, avec un maestria étonnante dans la réalisation, des scènes d’actions époustouflantes sur l’ile avec combats de dinosaures, insectes monstrueux au milieu duquel trône l’invincible gorille.
Après le combat culte face aux tyrannosaures montrant toute la géniale virtuosité de Jackson, vient la partie urbaine plus classique avec des scènes de catastrophes dans un New-York des années 30 brillamment reconstitué.
Derrière l’action, Jackson sait faire passer l’émotion avec un contraste parfait entre la puissance brutale/animale du colosse et la douceur/fragilité/pureté de Naomi Watts, parfaite dans le rôle à l’époque…
« King-Kong » est donc un grand film qui ne pourra que séduire les amateurs de ce pour quoi le cinéma a été crée : emporter, émouvoir, faire rêver, distraire !
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