O mecanismo, saison 1, épisode 4 (José Padilha)
Dans « O mecanismo, saison 1, épisode 4 », Ibrahim (Enrique Dias) se prépare à tenir bon dans la prison de Curitiba dans lequel il croupit et reçoit l’aide de ses puissants amis pour améliorer son quotidien (nourriture) dans l’attente d’une prochaine libération pour raison de santé.
Vander (Johnatan Haagensen) se trouve pris d’une inspiration géniale et demande à Verena (Caroline Abras) de revenir faire une inspection de la maison de Rangel (Leonardo Medeiros) à Rio de Janeiro.
Le juge Paulo Riggo (Otto Jr) donne son accord et la perquisition a lieu, donnant lieu à la découverte de 3 millions d’euros cachés dans un mur.
Le départ précipité imminent du couple Rangel pour le Japon ne plaide également pas en leur faveur et accélère la mise en examen du PDG de Petrobrasil, laissant sa femme Samira (Carla Ribas) et sa fille Shayenne (Prisicila Assum) plus désemparées que jamais.
Mis au courant, Ibrahim sait que si Rangel parle, toutes ses protections tombent, c’est pourquoi il tente de veiller à la bonne santé physique et mentale de son codétenu.
Alors que les politiciens s’activent dans l’ombre, la grande surprise est la découverte que Marc Ruffo (Selton Mello) le commissaire qui s’était soit disant suicidé, est finalement miraculeusement en vie, la balle ayant suivi une trajectoire improbable pour le laisser intact.
On comprend que Ruffo est en contact avec depuis le début Guilherme (Osvaldo Mil) pour prendre sa revanche sur Ibrahim.
Cette fois, Verena peut compter sur une petite équipe motivée pour analyser les abondantes saisies autour du « système » Lava jato, avec notamment le soutien inattendu d’un Claudio Amadeu (Lee Taylor), plein de culpabilité mais surtout de Riggo, prêt à affronter les politiciens.
En ange vengeur revenu du néant, Ruffo fait pression sur lui via Verena sur, pour empêcher que le procès ait lieu à Brasilia, afin que les juges nommés par le pouvoir central ne blanchissent pas les prévenus.
En conclusion, « O mecanismo, saison 1, épisode 4 » continue sur sa lancée en montrant l’arrestation d’un des plus gros poissons de l’affaire Lava jato, le PDG de Petrobrasil, dont on devine qu’il n’a pas l’étoffe d’un grand criminel et qu’il va tôt ou tard commencer à parler, faisant fissurer le système de toute part.
Si les investigation de la police fédérale sont assez bien menées, l’improbable résurrection d’un Ruffo intact après s’être tiré une balle dans la tête, plombe fortement l’intrigue, l’amenant vers les frontières du ridicule.
Dommage également pour le manque de rythme de ce quatrième épisode plutôt centré sur la famille du riche industriel et les états d’âmes de Ruffo, vengeur solitaire très caricatural.
Une amélioration pour les derniers épisodes de la saison 1 ?
Vander (Johnatan Haagensen) se trouve pris d’une inspiration géniale et demande à Verena (Caroline Abras) de revenir faire une inspection de la maison de Rangel (Leonardo Medeiros) à Rio de Janeiro.
Le juge Paulo Riggo (Otto Jr) donne son accord et la perquisition a lieu, donnant lieu à la découverte de 3 millions d’euros cachés dans un mur.
Le départ précipité imminent du couple Rangel pour le Japon ne plaide également pas en leur faveur et accélère la mise en examen du PDG de Petrobrasil, laissant sa femme Samira (Carla Ribas) et sa fille Shayenne (Prisicila Assum) plus désemparées que jamais.
Mis au courant, Ibrahim sait que si Rangel parle, toutes ses protections tombent, c’est pourquoi il tente de veiller à la bonne santé physique et mentale de son codétenu.
Alors que les politiciens s’activent dans l’ombre, la grande surprise est la découverte que Marc Ruffo (Selton Mello) le commissaire qui s’était soit disant suicidé, est finalement miraculeusement en vie, la balle ayant suivi une trajectoire improbable pour le laisser intact.
On comprend que Ruffo est en contact avec depuis le début Guilherme (Osvaldo Mil) pour prendre sa revanche sur Ibrahim.
Cette fois, Verena peut compter sur une petite équipe motivée pour analyser les abondantes saisies autour du « système » Lava jato, avec notamment le soutien inattendu d’un Claudio Amadeu (Lee Taylor), plein de culpabilité mais surtout de Riggo, prêt à affronter les politiciens.
En ange vengeur revenu du néant, Ruffo fait pression sur lui via Verena sur, pour empêcher que le procès ait lieu à Brasilia, afin que les juges nommés par le pouvoir central ne blanchissent pas les prévenus.
En conclusion, « O mecanismo, saison 1, épisode 4 » continue sur sa lancée en montrant l’arrestation d’un des plus gros poissons de l’affaire Lava jato, le PDG de Petrobrasil, dont on devine qu’il n’a pas l’étoffe d’un grand criminel et qu’il va tôt ou tard commencer à parler, faisant fissurer le système de toute part.
Si les investigation de la police fédérale sont assez bien menées, l’improbable résurrection d’un Ruffo intact après s’être tiré une balle dans la tête, plombe fortement l’intrigue, l’amenant vers les frontières du ridicule.
Dommage également pour le manque de rythme de ce quatrième épisode plutôt centré sur la famille du riche industriel et les états d’âmes de Ruffo, vengeur solitaire très caricatural.
Une amélioration pour les derniers épisodes de la saison 1 ?
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