O mecanismo, saison 1, épisode 3 (José Padilha)

Dans « O mecanismo, saison 1, épisode 3 », lorsque Carlos Guilherme (Osvaldo Mil) localise Ibrahim (Enrique Dias) après qu’il ait passé un coup de fil à sa fille depuis une chambre d’hôtel à Brasilia, Verena Cardoni (Caroline Abras) choisit de sa propre initiative de relancer l’opération d’arrestation sans attendre les atermoiements de son chef Roberval Bruno (Giulio Lopes).
Sont ainsi pris dans un vaste coup de filet de la police fédérale : Kitano (Alessanda Colassanti) dans une boite de nuit, Chebab (Claudio Mendes), Ibrahim qui ayant senti le piège se refermer s’est débarrassé de sa dernière livraison d’argent avant l’arrivée de Cardoni, puis Joao Pedro Rangel (Leonardo Medeiros) le PDG de Petrobrasil dans sa maison familiale de Rio de Janeiro.
Mais, Samira (Carla Ribas), la femme de Rangel, contacte son gendre Ricky (Caio Junqueira) et sa fille Shayenne (Prisicila Assum) pour leur demander de récupérer les documents de son mari à son bureau afin de les faire disparaitre avant l’arrivée de la police.
Profitant des égards pris par les enquêteurs pour le PDG de Pretrobrasil, ils réussissent in extremis leur mission et font bruler les preuves, ce qui allège grandement les charges contre Rangel, qui finit par repartir libre chez lui, seul le 4x4 étant retenu.
Au siège de la police fédérale du Paraná, Cardoni est officiellement félicité par Bruno puis copieusement menacée pour son initiative audacieuse.
Mais la commissaire tient tête, évoquant la montagne de documents à charge qu’elle a pu récupérer lors de sa perquisition….
En conclusion, « O mecanismo, saison 1, épisode 3 » efface immédiatement la déception de l’échec précédent pour montrer cette fois une réussite en deux temps avec une arrestation d’envergure de personnes impliquées dans un vaste schéma de corruption même si le principal accusé, Rangel a pour l’instant les moyens de se tenir hors d’atteinte de la rafle…
On attend avec impatience la suite avec sans nul doute l’exploitation des documents récupérés et les interrogatoires des intermédiaires…

Commentaires