Le voyage fantastique (Richard Fleischer)
En 1966, Richard Fleischer sort « Le voyage fantastique » film de Science fiction audacieux en son temps qui fut gratifié d’un oscar.
Ici, pour soigner Jan Bénès, un scientifique américain atteint d’un œdème au cerveau après une agression d’espions soviétiques, le gouvernement américain utilise une technologie révolutionnaire consistant à miniaturiser le Proteus, un sous marin jusqu’à la taille d’un microbe afin de l’envoyer avec à son bord une petite équipe médicale dans le corps malade.
L’agent secret Grant (Stephen Boyd) est ainsi réquisitionné par la hiérarchie militaire du général Carter (Edmond O’Brien) et du colonel Donal Reid (Arthur O’Connell) pour intégrer l’équipe composée du capitaine du sous marin Bill Owens, du Docteur Duval (Arthur Kennedy) colérique concepteur d’un canon laser capable de détruire l’œdème, de son assistante Cora Paterson (Raquel Welsch) ainsi que du Docteur Michael spécialiste en biochimie (Donald Pleasance).
Mu par une pile nucléaire, le Proteus miniaturisé navigue dans les artères de Bénès plongé en hypothermie avec une autonomie d’une heure avant de grandir de nouveau pour être détecté par les défenses de l’organisme.
Carter et Reid suivent son évolution dans un poste de contrôle au moyen d’appareils traçant sa radioactivité.
Mais un courant imprévu dévie le Proteus vers le cœur de Bénès ou de sévère turbulences risquent de le détruire.
Pour sauver la mission et la vie de l’équipage, Carter fait débrancher temporairement le cœur de Bénès ce qui permet au Proteus de passer la zone dangereuse pour se retrouver dans les poumons pour faire le plein d’air dans les ballasts.
A bord des tensions éclatent car Grant suspecte des actes de sabotage du canon ainsi que d’un filin de sécurité s’étant détaché et ayant failli le conduire à se faire aspirer par le souffle des poumons de Bénès.
Ralenti par des fibres qui bloquent sa propulsion, le Proteus doit être secouru mais la courageuse Paterson qui sort pour cette difficile besogne est agressée par des anticorps qui manquent de la tuer.
Pris par le temps, le Proteus emprunte le canal auditif pour arriver au cerveau et échappe de peu à la destruction par les effets des vibrations de la chute d’un objet sur le sol.
Duval révèle alors sa traitrise mais est châtié lorsque les globules blancs l’enserrent pour le broyer.
Grant utilise l’arme à laser pour détruire l’œdème de Bénès mais devenus trop grands pour espérer s’en sortir, les survivants laissent le sous marin se faire disloquer par les défenses immunitaires de Bénès et s’échappent in extremis par le globe oculaire dans lequel l’habile Reid les rattrapent.
En conclusion, « Le voyage fantastique » porte bien son nom et se révèle un petit bijou de SF des années 60 avec d’étranges paysages évoquant le monde sous marin ou l’espace à l’intérieur de la merveilleuse machine du vivant représentée par le corps humain.
Brillant, habile, original, créatif et aujourd’hui forcément suranné car dépassé par les effets spéciaux modernes, « Le voyage fantastique » se doit d’occuper une place privilégiée dans le cœur des cinéphiles les plus avisés, avec en bonus la beauté parfaite du sex symbol latina parfait des années 60 : Raquel Welsch parfaite dans sa combinaison moulante en plastique !
Ici, pour soigner Jan Bénès, un scientifique américain atteint d’un œdème au cerveau après une agression d’espions soviétiques, le gouvernement américain utilise une technologie révolutionnaire consistant à miniaturiser le Proteus, un sous marin jusqu’à la taille d’un microbe afin de l’envoyer avec à son bord une petite équipe médicale dans le corps malade.
L’agent secret Grant (Stephen Boyd) est ainsi réquisitionné par la hiérarchie militaire du général Carter (Edmond O’Brien) et du colonel Donal Reid (Arthur O’Connell) pour intégrer l’équipe composée du capitaine du sous marin Bill Owens, du Docteur Duval (Arthur Kennedy) colérique concepteur d’un canon laser capable de détruire l’œdème, de son assistante Cora Paterson (Raquel Welsch) ainsi que du Docteur Michael spécialiste en biochimie (Donald Pleasance).
Mu par une pile nucléaire, le Proteus miniaturisé navigue dans les artères de Bénès plongé en hypothermie avec une autonomie d’une heure avant de grandir de nouveau pour être détecté par les défenses de l’organisme.
Carter et Reid suivent son évolution dans un poste de contrôle au moyen d’appareils traçant sa radioactivité.
Mais un courant imprévu dévie le Proteus vers le cœur de Bénès ou de sévère turbulences risquent de le détruire.
Pour sauver la mission et la vie de l’équipage, Carter fait débrancher temporairement le cœur de Bénès ce qui permet au Proteus de passer la zone dangereuse pour se retrouver dans les poumons pour faire le plein d’air dans les ballasts.
A bord des tensions éclatent car Grant suspecte des actes de sabotage du canon ainsi que d’un filin de sécurité s’étant détaché et ayant failli le conduire à se faire aspirer par le souffle des poumons de Bénès.
Ralenti par des fibres qui bloquent sa propulsion, le Proteus doit être secouru mais la courageuse Paterson qui sort pour cette difficile besogne est agressée par des anticorps qui manquent de la tuer.
Pris par le temps, le Proteus emprunte le canal auditif pour arriver au cerveau et échappe de peu à la destruction par les effets des vibrations de la chute d’un objet sur le sol.
Duval révèle alors sa traitrise mais est châtié lorsque les globules blancs l’enserrent pour le broyer.
Grant utilise l’arme à laser pour détruire l’œdème de Bénès mais devenus trop grands pour espérer s’en sortir, les survivants laissent le sous marin se faire disloquer par les défenses immunitaires de Bénès et s’échappent in extremis par le globe oculaire dans lequel l’habile Reid les rattrapent.
En conclusion, « Le voyage fantastique » porte bien son nom et se révèle un petit bijou de SF des années 60 avec d’étranges paysages évoquant le monde sous marin ou l’espace à l’intérieur de la merveilleuse machine du vivant représentée par le corps humain.
Brillant, habile, original, créatif et aujourd’hui forcément suranné car dépassé par les effets spéciaux modernes, « Le voyage fantastique » se doit d’occuper une place privilégiée dans le cœur des cinéphiles les plus avisés, avec en bonus la beauté parfaite du sex symbol latina parfait des années 60 : Raquel Welsch parfaite dans sa combinaison moulante en plastique !
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