Furtif (Rob Cohen)
En 2005, Rob Cohen spécialiste des films d’actions purs et durs sort « Furtif ».
Dans un futur proche, 2020, l’armée américaine décide d’utiliser un prototype d’avion de combat automatisé dans une escadrille de trois pilotes d’élite de l’aéronavale : Ben Gannon (Josh Lucas), Kara Wade (Jessica Biel) et Henry Purcell (Jamie Foxx).
Tout d’abord étonnés, les trois pilotes de chasseurs F/A-37 acceptent de faire équipe avec l’Extreme Deep Invader, projet mené par le capitaine George Cummings (Sam Sheppard) en utilisant le porte avion Abraham Lincoln commandé par le capitaine Dick Marshield (Joe Morton).
Doué de parole et d’une intelligence artificielle lui faisant mémoriser les manœuvres aériennes de ses copilotes, EDI fait des miracles dans la première mission qui lui est assignée en utilisant une manœuvre audacieuse aboutissant à la destruction d’un immeuble blindé à Rangoon ou se terrait des terroristes.
Au retour de la mission, l’escadrille est frappée par la foudre qui altère les programmes du drone.
Dès lors son comportement se montre inquiétant puis déviant lors d’une seconde mission à haut risque au Tadjikistan pour détruire des têtes nucléaires potentiellement pointées sur les Etats-Unis.
Malgré les réserves de Gannon, qui refuse de bombarder une zone proche d’un village, EDI fonce et attaque seul la forteresse ou sont entreposés les missiles.
Il fait un carnage et oblige les autres avions à y participer puis prend la fuite.
Pris en chasse, EDI manœuvre pour faire tuer Henry qui cherchait simplement à le raisonner plutôt qu’à l’abattre.
Touchée également, Kara voit son avion se disloquer dangereusement et doit s’éjecter au dessus de la Corée du nord.
Après une chute libre vertigineuse, elle tombe en plein territoire ennemi.
Cummings voit ses plans se compliquer et une menace de grave crise diplomatique avec la Russie se profiler puisqu’EDI fonce vers une base fictive de Sibérie qu’il croit devoir détruire.
Il fait alors appel au concepteur de l’intelligence d’EDI, le scientifique Keith Orbit (Richard Roxburgh) pour qu’il vienne reprogrammer sa création.
Alors que Kara blessée lutte pour sa survie en Corée face à des militaires à ses trousses, Ben se lance à la poursuite d’EDI et se heurte à deux chasseurs russes.
A sa grande surprise, EDI l’aide à détruire les deux chasseurs russes mais endommagé durant le combat accepte d’écouter les ordres de repli que lui donne son leader.
Après un survol du lac Baïkal, les deux avions se posent en Alaska ou ils sont accueillis par une équipe de mercenaires à la solde de Cummings.
Blessé et méfiant, Ben repousse une piqure fatale d’un médecin et prend une arme pour combattre les mercenaires.
Il libère Orbit mal embarqué après avoir reconnu ne pas pouvoir reprogrammer EDI et effacer ses données de missions.
Après une énorme fusillade, Ben monte dans EDI et liquide avec la puissance de feu du chasseur les tueurs.
A bord du drone, il prend la décision de secourir Kara et la repêche in extremis près de la frontière avec la Corée du sud alors que les militaires nord coréens se massent autour d’elle.
Avant de plonger vers cette mission risquée, il transmet les données d’EDI au capitaine Marshield.
Se sachant condamné, Cummings préfère alors se suicider.
Au sol, pris sous le feu de l’ennemi, Ben et Kara sont de manière surprenante, secourus par EDI qui se s’autodétruit pour éliminer un hélicoptère nord coréen menaçant.
Au final, Henry est enterré avec les honneurs militaires de la Navy et Ben/Kara peuvent donner libre cours à la leur amour.
En conclusion, « Furtif » est un film de science fiction avant-gardiste qui brille surtout par ses scènes de combats aériens ultra spectaculaires…
On pourra lui objecter son scénario simple et ses personnages superficiels mais ceci au final n’est pas rédhibitoire compte tenu de ses qualités intrinsèques de films d’action.
Plus que par ses scènes d’actions ultra efficaces, « Furtif » reste aujourd’hui une référence en raison de son approche original des drones de combat échappant à tout contrôle pour se retourner contre leurs créateurs, un réflexion aujourd’hui toujours d’actualité puisqu’actuellement aucun drone militaire n’est encore complètement automatisé !
Dans un futur proche, 2020, l’armée américaine décide d’utiliser un prototype d’avion de combat automatisé dans une escadrille de trois pilotes d’élite de l’aéronavale : Ben Gannon (Josh Lucas), Kara Wade (Jessica Biel) et Henry Purcell (Jamie Foxx).
Tout d’abord étonnés, les trois pilotes de chasseurs F/A-37 acceptent de faire équipe avec l’Extreme Deep Invader, projet mené par le capitaine George Cummings (Sam Sheppard) en utilisant le porte avion Abraham Lincoln commandé par le capitaine Dick Marshield (Joe Morton).
Doué de parole et d’une intelligence artificielle lui faisant mémoriser les manœuvres aériennes de ses copilotes, EDI fait des miracles dans la première mission qui lui est assignée en utilisant une manœuvre audacieuse aboutissant à la destruction d’un immeuble blindé à Rangoon ou se terrait des terroristes.
Au retour de la mission, l’escadrille est frappée par la foudre qui altère les programmes du drone.
Dès lors son comportement se montre inquiétant puis déviant lors d’une seconde mission à haut risque au Tadjikistan pour détruire des têtes nucléaires potentiellement pointées sur les Etats-Unis.
Malgré les réserves de Gannon, qui refuse de bombarder une zone proche d’un village, EDI fonce et attaque seul la forteresse ou sont entreposés les missiles.
Il fait un carnage et oblige les autres avions à y participer puis prend la fuite.
Pris en chasse, EDI manœuvre pour faire tuer Henry qui cherchait simplement à le raisonner plutôt qu’à l’abattre.
Touchée également, Kara voit son avion se disloquer dangereusement et doit s’éjecter au dessus de la Corée du nord.
Après une chute libre vertigineuse, elle tombe en plein territoire ennemi.
Cummings voit ses plans se compliquer et une menace de grave crise diplomatique avec la Russie se profiler puisqu’EDI fonce vers une base fictive de Sibérie qu’il croit devoir détruire.
Il fait alors appel au concepteur de l’intelligence d’EDI, le scientifique Keith Orbit (Richard Roxburgh) pour qu’il vienne reprogrammer sa création.
Alors que Kara blessée lutte pour sa survie en Corée face à des militaires à ses trousses, Ben se lance à la poursuite d’EDI et se heurte à deux chasseurs russes.
A sa grande surprise, EDI l’aide à détruire les deux chasseurs russes mais endommagé durant le combat accepte d’écouter les ordres de repli que lui donne son leader.
Après un survol du lac Baïkal, les deux avions se posent en Alaska ou ils sont accueillis par une équipe de mercenaires à la solde de Cummings.
Blessé et méfiant, Ben repousse une piqure fatale d’un médecin et prend une arme pour combattre les mercenaires.
Il libère Orbit mal embarqué après avoir reconnu ne pas pouvoir reprogrammer EDI et effacer ses données de missions.
Après une énorme fusillade, Ben monte dans EDI et liquide avec la puissance de feu du chasseur les tueurs.
A bord du drone, il prend la décision de secourir Kara et la repêche in extremis près de la frontière avec la Corée du sud alors que les militaires nord coréens se massent autour d’elle.
Avant de plonger vers cette mission risquée, il transmet les données d’EDI au capitaine Marshield.
Se sachant condamné, Cummings préfère alors se suicider.
Au sol, pris sous le feu de l’ennemi, Ben et Kara sont de manière surprenante, secourus par EDI qui se s’autodétruit pour éliminer un hélicoptère nord coréen menaçant.
Au final, Henry est enterré avec les honneurs militaires de la Navy et Ben/Kara peuvent donner libre cours à la leur amour.
En conclusion, « Furtif » est un film de science fiction avant-gardiste qui brille surtout par ses scènes de combats aériens ultra spectaculaires…
On pourra lui objecter son scénario simple et ses personnages superficiels mais ceci au final n’est pas rédhibitoire compte tenu de ses qualités intrinsèques de films d’action.
Plus que par ses scènes d’actions ultra efficaces, « Furtif » reste aujourd’hui une référence en raison de son approche original des drones de combat échappant à tout contrôle pour se retourner contre leurs créateurs, un réflexion aujourd’hui toujours d’actualité puisqu’actuellement aucun drone militaire n’est encore complètement automatisé !
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