La casa de papel, saison 1, épisode 13 (Alex Pina)

 



Dans « La casa de papel, saison 1, épisode 13 », lorsque le Professeur (Alvaro Morte) reprend ses esprits, il ne peut que constater la catastrophe dans la Fabrique et l'évasion des seize otages.

Pour prévenir une autre révolte, il a alors l'idée de leur proposer de rester avec eux pour 1 million d'euros chacun.

Berlin (Pedro Alonso) mène les négociations, certains acceptant l'offre, d'autres la déclinant.

Séduite par Denver (Jaime Lorente), Monica (Esther Acebo) accepte.

Ceux qui l'acceptent sont en réalité les dupés de l'affaire puisqu'ils terminent enfermés dans les sous-sols.

Réputé être l’instigateur du plan d'évasion, Arturo (Enrique Arce) est sur le point d’être exécuté par Helsinki (Darko Peric) qui veut venger l'agression d'Oslo (Roberto Garcia), mais s'en sort encore en parvenant à lui faire renoncer à son projet.

Helsinki envisage donc logiquement de perdre son ami, puisque chacun des braqueurs avait juré de ne pas sortir même en cas de blessure grave.

Le Professeur comprend qu'il doit éliminer Marivi (Kiti Manver) car seule personne ayant eu le message de Rubio (Fernando Soto) avant son terrible accident.

Mais au contact de sa victime, il demeure incapable de passer aux actes et renonce à lui faire boire une tasse de café empoisonnée.

La solution pour laquelle il opte est plus subtile et tout aussi efficace, effacer le message et prendre le post-it sur lequel la vieille femme avait noté les informations de Rubio.

L'arrivée de Raquel (Izia Ituni) chez sa mère ne le désarçonne pas et il continue de faire bonne figure.

Dévastée par l'accident de Rubio, Raquel veut juste de la tendresse pour évacuer le stress, ce qui lui accorde Salva.

En conclusion, « La casa de papel, saison 1, épisode 13 » termine de manière convaincante cette première saison boiteuse.

Si la situation vis-à-vis de l'extérieur est plutot celle d'un épuisant face-à-face psychologique sans réelle avancée si ce n'est la fuite d'une poignée d'otages, l'intérieur du bâtiment est plutot le siège d'un intense bouillonnement, avec de multiples tensions entre braqueurs et revirement des otages.

Je quitte donc sur une meilleure impression, cette casa de papel, pour moi grandement surcotée !

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