La casa de papel, saison 1, épisode 8 (Alex Pina)

 



Dans « La casa de papel, saison 1, épisode 8 », après le chassé-croisé de la casse, les policiers se jettent sur la piste laissée par le Professeur (Alvaro Morte) et remontent aisément la trace de Berlin (Pedro Alonso) identifié comme dangereux psychopathe narcissique.

En difficulté après avoir du endossé la responsabilité de l'affaire Alison Parker (Maria Pedraza) et du fait des révélations sur sa vie privée chaotique marquée par un ex-mari violent désireux de lui ravrir sa fille, Raquel (Iziar Ituno) accepte de céder encore une fois aux exigences de Prieto (Juan Fernandez) pour brosser un portrait aggravé de Berlin en l'accusant de proxénétisme.

Il s'agit bien d'une lutte à distance pour obtenir les faveurs de l'opinion publique, comme le montre les explications du Professeur dans un flash-back.

A l'intérieur, Denver (Jaime Lorente) se rapproche de Monica (Esther Acebo) toujours blessée, et Rio (Miguel Herran) d'Alison, ce qui provoque une curieuse réaction de désir/défi chez Tokyo (Ursula Corbero) qui l'embrasse sensuellement.

Il est vrai que la Fabrique, actionnée par les otages continue de tourner à plein régime et que les millions d'euros s'accumulent.

Mais une seconde faille s'ouvre dans la cuirasse du Professeur lorsque Dimitrievich (Peter Nikolas) le gardien de la casse automobile accepte de faire un portrait robot de lui, ce qui confirme les doutes de Raquel sur ce mystérieux SDF prenant la fuite.

En parallèle, l'interrogatoire d'un ex compagnon de cellule de Berlin, apprend au policier qu'il est dépendant à un médicament, le Retroxil.

En conclusion, « La casa de papel, saison 1, épisode 8 » avance à trop petits pas compte tenu de l’imminence de la fin de cette première saison.

On sent la Police retourner progressivement la situation et reprendre l'avantage, même si le Professeur et le tordu Berlin n'ont certainement pas abattu leurs dernières cartes.

Une série que je trouve cependant trop sur la retenue avec des personnages tout compte fait fadasses...

A ce stade l'engouement dont elle fait l'objet me laisse toujours plus que perplexe.

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