Californication, saison 3, épisode 1 (Tom Kapinos)

 



En 2009 sort « Californication, saison 3, épisode 1 ».

Après le départ de Karen (Natascha Mc Elhone) pour New-York, Hank (David Duchovny) se retrouve seul à Los Angeles avec la responsabilité de l’éducation de Rebecca (Madeleine Martin) logiquement de plus en plus rebelle et émancipée.

Les frictions se multiplient entre le père et la fille et Hank finit par rencontrer Felicia Koons (Embeth Davidtz) la mère de Chelsea (Ellen Woglom) la meilleure amie de Rebecca et accessoirement partenaire de fumette.

Directrice d’une section littérature à l’université, Felicia invite le turbulent Hank à une soirée dans sa maison ou ce dernier fait la connaissance de son mari Dean Stacy (Peter Gallagher) le doyen de l’université.

Les contacts sont rugueux entre les deux hommes sachant que Hank l’a projeté dans un buisson avec sa vieille Porsche alors qu’il faisait du vélo.

Durant cette soirée, Hank fait la connaissance de Richard Bates (Jason Beghe) un écrivain réputé qui perd les pédales après avoir ingurgité de l’alcool et révélé une addiction dormante.

Devenu incontrôlable et bon pour la desintox, Bates fait faux bon à Felicia pour assurer ses cours à l’université, ce qui la pousse à proposer le poste à Hank.

De son coté, Charlie (Evan Hanlder) se débat toujours en plein divorce avec Marcy (Pamela Adlon) mais a réussi a retrouver un emploi d’agent littéraire.

Sous la coupe de sa patronne, Sue Collini (Kathleen Turner) une insatiable cougar, Charlie a bien du mal à résister à ses avances répétées et peine à rentrer des contrats pour son ami, à présent en difficulté financière.

En conclusion, « Californication, saison 3, épisode 1 » semble redémarrer sur de nouvelles bases en montrant un Hank toujours aussi fantasque mais en proie à de nouvelles difficultés d’ordre générationnelles.

Le renouvellement des personnages apporte du sang neuf, tout comme l’entrée potentielle du héros dans le monde de l’enseignement.

Le ton de la série reste lui inchangé : sexe, drogue et rock ‘n’ roll pour un cocktail des plus irrévérencieux !

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