Le chemin (Luciano Moura)
Retour au cinéma brésilien avec « Le chemin » film de Luciano Moura.
Sorti en 2014, « Le chemin » commence à São Paulo, ou Théo (Wagner Moura) un médecin brésilien aisé, vit une passe difficile en se séparant de Branca (Mariana Lima).
Le couple se dispute pour principalement la maison que Théo souhaite vendre au plus vite tandis que Branca y habite encore.
Mais entre deux coups de gueules, survient un élément majeur, la disparition de leur fils Pedro (Bras Moreo Antunes) qui après avoir refusé de partir étudier en Nouvelle-Zélande, s’évanouit dans la nature.
Très inquiet, le couple questionne son ami Levy (Max Huszar) puis s’aperçoit que Pedro avait préparé sa fugue depuis longtemps en vendant son ordinateur pour se faire un peu d’argent.
Un passage dans un refuge leur fait comprendre que Pedro est parti sur un cheval noir en falsifiant ses papiers d’identité.
Théo se lance alors dans une quête effrénée en tenant au courant Branca restée seule pour garder la maison.
Un accident près d’une favela lui fait comprendre que Pedro, blessé a trouvé refuge pour une nuit et est ensuite parti vers Espirito Santo.
Théo suit la piste jusqu’à une rivière et tente désespérément de traverser malgré les réticences d’une famille modeste vivant sur une barge.
Après une nuit de sommeil sur la barge, Théo reprend ses recherches et trouve ensuite un homme (João Fabio Cabral) portant le même tee shirt que son fils.
Il lutte avec le paysan dans les champs qui le croit fou et qui finit par lui dire que son fils lui a donné ce tee shirt en échange d’un peu d’eau.
S’enfonçant de plus en plus dans la campagne brésilienne, Théo qui n’a plus de portable depuis une chute dans la rivière fait le forcing pour passer un coup de fil dans un modeste village de paysans mais se heurte à un refus obstiné du seul vieil homme (Rui Rezende) cardiaque possédant un portable.
Irrité, il prend le téléphone en donnant de l’argent au vieux monsieur mais part sous une pluie de pierres des villageois.
Dans l’état de Mina Gerais, il rencontre des jeunes auto-stoppeurs qu’il amène à un festival de rock-music hippie.
Théo continue de chercher son fils qui a passé quelques heures sur place avant de tailler la route.
Avant de partir, Il trouve le moyen d’accoucher une femme hippie refusant d’aller à l’hôpital.
Sur la route, Branca le rappelle en lui disant qu’elle a trouvé ou son fils a fui, dans la ferme de son grand-père à Espirito Santo pour lui offrir un cheval.
Choqué, Théo marche sur la route et se fait renverser par une voiture.
Custodio (Abrahão Farc) l’homme qui l’a frappé le recueille et le remet sur pieds, suffisamment pour que Théo emprunte une moto chez un garagiste ayant vu Pedro qui a dessiné pour lui.
Arrivé à la ferme du grand-père Sal Gadelha (Lima Duarte), Théo s’explique avec celui-ci et lui reparle après des années de brouille.
Menuisier, le vieil homme lui explique que son fils a hérité de lui d’un don pour le dessin…
Les retrouvailles familiales sont ensuite intenses, Branca pouvant enfin gouter à la piscine fraichement réparée…
En conclusion, « Le chemin » est un très bon film d’auteur brésilien prenant pour thématique les difficultés de communication familiales et les complexes relations père-fils.
L’histoire, tout d’abord extravagante, prend peu à peu du sens et met en valeur le parcours initiatique de ce médecin paulista écumant les campagnes de São Paulo, du Mina Gerais et d’Espirito Santo pour retrouver son fils.
Plaisant donc, riche et intense, un film intelligent et profond qui vaut le détour !
Sorti en 2014, « Le chemin » commence à São Paulo, ou Théo (Wagner Moura) un médecin brésilien aisé, vit une passe difficile en se séparant de Branca (Mariana Lima).
Le couple se dispute pour principalement la maison que Théo souhaite vendre au plus vite tandis que Branca y habite encore.
Mais entre deux coups de gueules, survient un élément majeur, la disparition de leur fils Pedro (Bras Moreo Antunes) qui après avoir refusé de partir étudier en Nouvelle-Zélande, s’évanouit dans la nature.
Très inquiet, le couple questionne son ami Levy (Max Huszar) puis s’aperçoit que Pedro avait préparé sa fugue depuis longtemps en vendant son ordinateur pour se faire un peu d’argent.
Un passage dans un refuge leur fait comprendre que Pedro est parti sur un cheval noir en falsifiant ses papiers d’identité.
Théo se lance alors dans une quête effrénée en tenant au courant Branca restée seule pour garder la maison.
Un accident près d’une favela lui fait comprendre que Pedro, blessé a trouvé refuge pour une nuit et est ensuite parti vers Espirito Santo.
Théo suit la piste jusqu’à une rivière et tente désespérément de traverser malgré les réticences d’une famille modeste vivant sur une barge.
Après une nuit de sommeil sur la barge, Théo reprend ses recherches et trouve ensuite un homme (João Fabio Cabral) portant le même tee shirt que son fils.
Il lutte avec le paysan dans les champs qui le croit fou et qui finit par lui dire que son fils lui a donné ce tee shirt en échange d’un peu d’eau.
S’enfonçant de plus en plus dans la campagne brésilienne, Théo qui n’a plus de portable depuis une chute dans la rivière fait le forcing pour passer un coup de fil dans un modeste village de paysans mais se heurte à un refus obstiné du seul vieil homme (Rui Rezende) cardiaque possédant un portable.
Irrité, il prend le téléphone en donnant de l’argent au vieux monsieur mais part sous une pluie de pierres des villageois.
Dans l’état de Mina Gerais, il rencontre des jeunes auto-stoppeurs qu’il amène à un festival de rock-music hippie.
Théo continue de chercher son fils qui a passé quelques heures sur place avant de tailler la route.
Avant de partir, Il trouve le moyen d’accoucher une femme hippie refusant d’aller à l’hôpital.
Sur la route, Branca le rappelle en lui disant qu’elle a trouvé ou son fils a fui, dans la ferme de son grand-père à Espirito Santo pour lui offrir un cheval.
Choqué, Théo marche sur la route et se fait renverser par une voiture.
Custodio (Abrahão Farc) l’homme qui l’a frappé le recueille et le remet sur pieds, suffisamment pour que Théo emprunte une moto chez un garagiste ayant vu Pedro qui a dessiné pour lui.
Arrivé à la ferme du grand-père Sal Gadelha (Lima Duarte), Théo s’explique avec celui-ci et lui reparle après des années de brouille.
Menuisier, le vieil homme lui explique que son fils a hérité de lui d’un don pour le dessin…
Les retrouvailles familiales sont ensuite intenses, Branca pouvant enfin gouter à la piscine fraichement réparée…
En conclusion, « Le chemin » est un très bon film d’auteur brésilien prenant pour thématique les difficultés de communication familiales et les complexes relations père-fils.
L’histoire, tout d’abord extravagante, prend peu à peu du sens et met en valeur le parcours initiatique de ce médecin paulista écumant les campagnes de São Paulo, du Mina Gerais et d’Espirito Santo pour retrouver son fils.
Plaisant donc, riche et intense, un film intelligent et profond qui vaut le détour !
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