Retour vers le futur (Robert Zemeckis)
Retour sur un grand classique du cinéma de science fiction des années 80, « Retour vers le futur » de Robert Zemeckis, sorti sur les écrans en 1985.
Produit par Steven Spielberg, « Retour vers le futur » à pour base l’idée séduisante d’un adolescent des années 80, Marty Mc Fly (Michael J Fox) se retrouvant par le génie d’un scientifique excentrique appelé Doc/ Docteur Emmet Latrhop Brown (Christopher Loyd) propulsé en 1955 l’année même ou se sont rencontrés ses parents, George Douglas (Crispin Glover) et Lorrain Baines (Lea Thomson).
Pour voyager dans le temps Marty utilise une automobile DeLorean sur laquelle a été montée un convecteur temporel fonctionnant au plutonium (!).
Mais en séjournant dans le passé, Marty altère les événements en séduisant involontairement celle qui deviendra sa mère coupant ainsi l’herbe sous le pied à son propre père, George un individu faible, lâche et empoté exploité par la brute du lycée un certain Biff Tannen (Thomas Francis Wilson).
Coincé en 1955, Marty aidé par un le Doc de trente ans plus jeune, va devoir faire face à un double problème, faire en sorte que ces parents se rencontrent aux bal du lycée puis trouver un moyen de rentrer chez lui en 1985.
Le jeune homme dynamique et sympathique va donc faire preuve d’astuce et de courage pour mettre en défaut l’affreux Biff et sa bande de loubards, donner plus d’assurance à son père et réorienter les choix amoureux de sa Mère qui lui parait beaucoup plus dévergondée que l’image qu’elle a pu lui donner jusqu’ici.
Pour se faire Marty mettra à contribution ses qualités de skate boarder et de guitariste de rock pour rendre la rencontre des ses parents possibles et ne pas sombrer dans l’oubli temporel.
Le film se termine de manière échevelée avec une solution délirante imaginée par le Doc pour exploiter l’énergie de la foudre afin de permettre à la DeLorean lancée à pleine vitesse de revenir dans le futur.
Marty a la délicieuse surprise de trouver son présent favorablement modifié avec son père devenu un écrivain à succès beaucoup plus affirmé ayant pris le dessus sur Biff devenu un simple homme à tout faire.
Le Doc, en théorie assassiné par des terroristes arabes en 1985, est finalement épargné.
Assez astucieusement, le film laisse la porte ouverte à une suite avec le Doc de 1985 revenu d’un voyage en 2015, invitant Marty et sa petite amie Jennifer Parker à le suivre dans une DeLorean volante afin de résoudre un problème crucial concernant leur descendance.
En conclusion, « Retour vers le futur » est un pop corn movie sans prétention jouant habilement la carte du divertissement familial sur fond de nostalgie des années 50.
Le scénario est reconnaissons le astucieux en diable et les personnages terriblement attachants bien que assez schématiquement enfantins.
Marty est l’ado américain type des années 80, sympa, courageux, malin, débrouillard, portant des blues jeans, écoutant son walkman, pratiquant le skate board et jouant dans un groupe de rock.
Le Doc est le savant fou excentrique, Biff la brute monolithique quand à George il incarne l’intello niais tête de turc idéale du lycée.
« Retour vers le futur » est un film parfait quand on a 10 voir 12 ans maximum, mais aura du mal à pleinement passionner les adultes en quête de personnages plus fouillés.
Détail amusant, en 2012, les époques sont maintenant inversées et la nostalgie s’est déplacée autour des années 80, reléguant les glorieuses années 50 de l’essor économique d’après guerre dans un oubli relatif.
Produit par Steven Spielberg, « Retour vers le futur » à pour base l’idée séduisante d’un adolescent des années 80, Marty Mc Fly (Michael J Fox) se retrouvant par le génie d’un scientifique excentrique appelé Doc/ Docteur Emmet Latrhop Brown (Christopher Loyd) propulsé en 1955 l’année même ou se sont rencontrés ses parents, George Douglas (Crispin Glover) et Lorrain Baines (Lea Thomson).
Pour voyager dans le temps Marty utilise une automobile DeLorean sur laquelle a été montée un convecteur temporel fonctionnant au plutonium (!).
Mais en séjournant dans le passé, Marty altère les événements en séduisant involontairement celle qui deviendra sa mère coupant ainsi l’herbe sous le pied à son propre père, George un individu faible, lâche et empoté exploité par la brute du lycée un certain Biff Tannen (Thomas Francis Wilson).
Coincé en 1955, Marty aidé par un le Doc de trente ans plus jeune, va devoir faire face à un double problème, faire en sorte que ces parents se rencontrent aux bal du lycée puis trouver un moyen de rentrer chez lui en 1985.
Le jeune homme dynamique et sympathique va donc faire preuve d’astuce et de courage pour mettre en défaut l’affreux Biff et sa bande de loubards, donner plus d’assurance à son père et réorienter les choix amoureux de sa Mère qui lui parait beaucoup plus dévergondée que l’image qu’elle a pu lui donner jusqu’ici.
Pour se faire Marty mettra à contribution ses qualités de skate boarder et de guitariste de rock pour rendre la rencontre des ses parents possibles et ne pas sombrer dans l’oubli temporel.
Le film se termine de manière échevelée avec une solution délirante imaginée par le Doc pour exploiter l’énergie de la foudre afin de permettre à la DeLorean lancée à pleine vitesse de revenir dans le futur.
Marty a la délicieuse surprise de trouver son présent favorablement modifié avec son père devenu un écrivain à succès beaucoup plus affirmé ayant pris le dessus sur Biff devenu un simple homme à tout faire.
Le Doc, en théorie assassiné par des terroristes arabes en 1985, est finalement épargné.
Assez astucieusement, le film laisse la porte ouverte à une suite avec le Doc de 1985 revenu d’un voyage en 2015, invitant Marty et sa petite amie Jennifer Parker à le suivre dans une DeLorean volante afin de résoudre un problème crucial concernant leur descendance.
En conclusion, « Retour vers le futur » est un pop corn movie sans prétention jouant habilement la carte du divertissement familial sur fond de nostalgie des années 50.
Le scénario est reconnaissons le astucieux en diable et les personnages terriblement attachants bien que assez schématiquement enfantins.
Marty est l’ado américain type des années 80, sympa, courageux, malin, débrouillard, portant des blues jeans, écoutant son walkman, pratiquant le skate board et jouant dans un groupe de rock.
Le Doc est le savant fou excentrique, Biff la brute monolithique quand à George il incarne l’intello niais tête de turc idéale du lycée.
« Retour vers le futur » est un film parfait quand on a 10 voir 12 ans maximum, mais aura du mal à pleinement passionner les adultes en quête de personnages plus fouillés.
Détail amusant, en 2012, les époques sont maintenant inversées et la nostalgie s’est déplacée autour des années 80, reléguant les glorieuses années 50 de l’essor économique d’après guerre dans un oubli relatif.
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