Mad Max (George Miller)
Sorti en 1979, « Mad Max » de George Miller est considéré par beaucoup comme un film culte dont à l’imagerie punk apocalyptique très influente.
L’histoire se situe dans un futur proche indéterminé ou l’humanité semble avoir régressé au point que des bandes de voyous motorisés sèment la terreur sur de grandes autoroutes semi désertiques et abandonnées.
Seule la MFP (Main Force Police) une police équipée pour l‘interception routière (voitures, motos) semble encore capable de lutter contre ses bandes puissantes et déterminées.
Max Rockantasky (Mel Gibson) est un de ses policiers et ses talents de pilote couplés à une certaine inconscience du danger lui permettent de réussir ou ses collègues échouent le plus souvent.
Au cours d’une course poursuite frénétique, un voleur de voiture psychotique appelé Montizano (Vicent Gil), l’aigle de la route, est tué par les policiers.
A son retour à la base, Max est acclamé en héros par ses collègues et félicité par son supérieur le costaud et viril Mc Fee (Roger Ward).
Ses amis mécaniciens lui présentent une nouvelle voiture interceptrice à la motorisation révolutionnaire suralimentée à la nitroglycérine.
Max est séduit par le prototype mais rentre retrouver sa femme Jessie (Joanne Samuel) et son bébé, qui vivent dans une belle maison située aux bords de la mer.
Mais l’aigle de la route appartenait à une bande de motards, dont le chef, Toecutter (Hughs Keays Byrne) a juré de venger sa mort.
La bande montre toute sa férocité en prenant le contrôle d’une ville, en persécutant les habitants et en violant un jeune couple qui avait tenté de prévenir les secours.
Toecutter impose sa domination par la violence et sa cruauté, aidé par son lieutenant Bubba Zanetti (Geoff Parry).
Un jeune motard attardé appelé Johnny the boy (Tim Burns) est pris sur les lieux du viol par Jim Goose (Steve Bisley) , motard hâbleur de la MFP et sérieusement secoué lors de son interrogatoire.
Mais les habitants terrorisés ne portent pas plainte et le motard psychotique est relâché en proférant des menaces de mort sur Goose et Max.
Sans doute trop confiant, Goose tombe dans un traquenard et est brulé vif par les motards déchainés comme une bande de hyènes.
Max est si choqué de voir son ami vivant mais brulé à plus de 80% qu’il annonce sa décision de démissionner de la police pour aspirer à une vie paisible avec sa famille.
Malheusement pour lui, les motards ne le laissent pas en paix et le traquent inlassablement après que Jessie ait échappé à une agression en arrachant le bras d’un d’entre eux.
Le couple est agressé dans sa ferme et la famille de Max tuée sous ses yeux.
Mu par un puissant sentiment de vengeance, Max revêt son uniforme de policier clouté, s’arme d’un fusil à pompe et enfourche la nouvelle interceptor ultra rapide.
Il fond alors sur les motards devenus des proies et en blesse quelques uns.
Mais la bande de Toecutter reste redoutable, même pour un policier déterminé, aussi Max est il blessé par balle à la jambe, a le bras cassé par une moto et voit il Bubba fondre sur lui pour le tuer.
Max parvient à tuer Bubba avec le fusil empoigné de sa main gauche et trouve la force de remonter en voiture pour courser à mort Toecutter qui finit démembré par un poids lourd.
Le hasard est encore une fois clément avec Max qui retrouve Johnny en train de dépouiller un cadavre.
Max se montre impitoyable avec le fou, le menottant à la carcasse d’une voiture à laquelle il met le feu, tout en lui laissant le choix de se couper la cheville pour se libérer.
Le film se termine sur le visage dur et ferme du héros solitaire.
En conclusion, « Mad Max » est un cauchemar halluciné, épuré et ultra violent.
Miller dépouille son premier film de tout artifice lié à un gros budget qu’il n'a de toute façon pas à l’époque et va à l’essentiel en proposant un spectacle mécanique intense et prenant.
On peut être choqué par le coté malsain/sadique du film et par la moralité sommaire appliquant la loi du talion.
Sans doute discutable sur le plan du fond et de la forme, « Mad Max » n’en est pas moins un incroyable film d’action faisant la part belle aux mécaniques vrombissantes transformées en machines de guerre.
Une œuvre profondément heavy metal dont l’univers cuir-nihilistico-punk inspirera bon nombres d’artistes de tous milieux.
Et le rôle de la révélation pour un Mel Gibson alors âgé de trente trois ans.
Il incarnera pour moi toujours ce même personnage, bon père de famille, devenant complètement dingue une fois que sa famille aura été touchée, ce qui lui donnera toute légitimité pour exercer de sanglantes représailles au mépris de toute loi.
L’histoire se situe dans un futur proche indéterminé ou l’humanité semble avoir régressé au point que des bandes de voyous motorisés sèment la terreur sur de grandes autoroutes semi désertiques et abandonnées.
Seule la MFP (Main Force Police) une police équipée pour l‘interception routière (voitures, motos) semble encore capable de lutter contre ses bandes puissantes et déterminées.
Max Rockantasky (Mel Gibson) est un de ses policiers et ses talents de pilote couplés à une certaine inconscience du danger lui permettent de réussir ou ses collègues échouent le plus souvent.
Au cours d’une course poursuite frénétique, un voleur de voiture psychotique appelé Montizano (Vicent Gil), l’aigle de la route, est tué par les policiers.
A son retour à la base, Max est acclamé en héros par ses collègues et félicité par son supérieur le costaud et viril Mc Fee (Roger Ward).
Ses amis mécaniciens lui présentent une nouvelle voiture interceptrice à la motorisation révolutionnaire suralimentée à la nitroglycérine.
Max est séduit par le prototype mais rentre retrouver sa femme Jessie (Joanne Samuel) et son bébé, qui vivent dans une belle maison située aux bords de la mer.
Mais l’aigle de la route appartenait à une bande de motards, dont le chef, Toecutter (Hughs Keays Byrne) a juré de venger sa mort.
La bande montre toute sa férocité en prenant le contrôle d’une ville, en persécutant les habitants et en violant un jeune couple qui avait tenté de prévenir les secours.
Toecutter impose sa domination par la violence et sa cruauté, aidé par son lieutenant Bubba Zanetti (Geoff Parry).
Un jeune motard attardé appelé Johnny the boy (Tim Burns) est pris sur les lieux du viol par Jim Goose (Steve Bisley) , motard hâbleur de la MFP et sérieusement secoué lors de son interrogatoire.
Mais les habitants terrorisés ne portent pas plainte et le motard psychotique est relâché en proférant des menaces de mort sur Goose et Max.
Sans doute trop confiant, Goose tombe dans un traquenard et est brulé vif par les motards déchainés comme une bande de hyènes.
Max est si choqué de voir son ami vivant mais brulé à plus de 80% qu’il annonce sa décision de démissionner de la police pour aspirer à une vie paisible avec sa famille.
Malheusement pour lui, les motards ne le laissent pas en paix et le traquent inlassablement après que Jessie ait échappé à une agression en arrachant le bras d’un d’entre eux.
Le couple est agressé dans sa ferme et la famille de Max tuée sous ses yeux.
Mu par un puissant sentiment de vengeance, Max revêt son uniforme de policier clouté, s’arme d’un fusil à pompe et enfourche la nouvelle interceptor ultra rapide.
Il fond alors sur les motards devenus des proies et en blesse quelques uns.
Mais la bande de Toecutter reste redoutable, même pour un policier déterminé, aussi Max est il blessé par balle à la jambe, a le bras cassé par une moto et voit il Bubba fondre sur lui pour le tuer.
Max parvient à tuer Bubba avec le fusil empoigné de sa main gauche et trouve la force de remonter en voiture pour courser à mort Toecutter qui finit démembré par un poids lourd.
Le hasard est encore une fois clément avec Max qui retrouve Johnny en train de dépouiller un cadavre.
Max se montre impitoyable avec le fou, le menottant à la carcasse d’une voiture à laquelle il met le feu, tout en lui laissant le choix de se couper la cheville pour se libérer.
Le film se termine sur le visage dur et ferme du héros solitaire.
En conclusion, « Mad Max » est un cauchemar halluciné, épuré et ultra violent.
Miller dépouille son premier film de tout artifice lié à un gros budget qu’il n'a de toute façon pas à l’époque et va à l’essentiel en proposant un spectacle mécanique intense et prenant.
On peut être choqué par le coté malsain/sadique du film et par la moralité sommaire appliquant la loi du talion.
Sans doute discutable sur le plan du fond et de la forme, « Mad Max » n’en est pas moins un incroyable film d’action faisant la part belle aux mécaniques vrombissantes transformées en machines de guerre.
Une œuvre profondément heavy metal dont l’univers cuir-nihilistico-punk inspirera bon nombres d’artistes de tous milieux.
Et le rôle de la révélation pour un Mel Gibson alors âgé de trente trois ans.
Il incarnera pour moi toujours ce même personnage, bon père de famille, devenant complètement dingue une fois que sa famille aura été touchée, ce qui lui donnera toute légitimité pour exercer de sanglantes représailles au mépris de toute loi.
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